
Le Président de l'Assemblée nationale, Laurent Ngon Baba, et son son hôte, Mme Marie-Thérèse Keita-Bocoum
Au sortir de l'audience que lui a accordée le président de l'Assemblée nationale, Mme Keita-Bocoum a indiqué avoir fait le tour de la situation générale des droits de l'homme en République centrafricaine.
Selon Mme Keita-Bocoum, la situation de la justice, notamment la création de la Cour pénale spéciale et les réformes dans les secteurs de la sécurité ainsi que la commission vérité-justice-réparation et réconciliation sont de nature à ce que tous les Centrafricains aillent vers la réconciliation le cœur apaisé.
Elle a condamné les récentes attaques de Paoua perpétrées par des éléments armés d'Abass Sidiki Mahamat, ayant fauché plus de 46 citoyens, blessé plusieurs autres et provoqué d'importants mouvements de populations.
Elle s'est étonnée que l'attaque meurtrière de Paoua ait été menée peu de temps après l'accord de paix largement négocié à Khartoum au Soudan et signé à Bangui le 6 février dernier, recommandant aux groupes armés la cessation des hostilités vis-à-vis des civils et la dissolution des groupes armés.
L'insertion des jeunes a également été inscrite à l'ordre du jour des échanges entre le président de l'Assemblée nationale et son hôte, Mme Keita-Bocoum, pour qu'ils ne soient plus tentés de rejoindre les groupes armés.
Selon Mme Keita-Bocoum, la situation de la justice, notamment la création de la Cour pénale spéciale et les réformes dans les secteurs de la sécurité ainsi que la commission vérité-justice-réparation et réconciliation sont de nature à ce que tous les Centrafricains aillent vers la réconciliation le cœur apaisé.
Elle a condamné les récentes attaques de Paoua perpétrées par des éléments armés d'Abass Sidiki Mahamat, ayant fauché plus de 46 citoyens, blessé plusieurs autres et provoqué d'importants mouvements de populations.
Elle s'est étonnée que l'attaque meurtrière de Paoua ait été menée peu de temps après l'accord de paix largement négocié à Khartoum au Soudan et signé à Bangui le 6 février dernier, recommandant aux groupes armés la cessation des hostilités vis-à-vis des civils et la dissolution des groupes armés.
L'insertion des jeunes a également été inscrite à l'ordre du jour des échanges entre le président de l'Assemblée nationale et son hôte, Mme Keita-Bocoum, pour qu'ils ne soient plus tentés de rejoindre les groupes armés.