Organisé par l’OFCA, en partenariat avec le Bonuca, cette réunion a regroupé une cinquantaine de femmes de toutes les catégories sociales pour définir les critères permettant d’identifier les femmes susceptibles d’être considérées comme des leaders.
Une femme leader est entre autres, une femme de combat, prête à se battre pour une cause, un manager qui maîtrise l’art du management des hommes en plus de celui du management d’entreprise, qui parvient à changer la dynamique de l’action collective d’un ensemble plus ou moins organisé d’individus, capable de créer de l’action collective, capable d’entraîner des personnes vers un objectif partagé et de mobiliser autour d’un projet, qui veut transformer le monde ou changer le cours des choses.
Selon Mme Kinouani, il y a actuellement beaucoup de femmes qui travaillent, mais le plus souvent dans l’ombre, et le travail qu’elles font n’est pas rendu public par ce qu’elles ne sont pas connues et parce qu’elles travaillent de manière isolée.
Elle a jouté qu’à partir d’une liste qu’on va établir, un réseau des femmes sera créé, et à partir de ce réseau, les femmes auront un agenda commun de toutes les activités qu’elles vont mener sur le terrain.
Notons que la tenue de cet atelier répond à l’une des recommandations formulées le 30 octobre dernier, lors de la journée de sensibilisation des femmes leaders à la promotion de la résolution 1325 des Nations Unies.
Une femme leader est entre autres, une femme de combat, prête à se battre pour une cause, un manager qui maîtrise l’art du management des hommes en plus de celui du management d’entreprise, qui parvient à changer la dynamique de l’action collective d’un ensemble plus ou moins organisé d’individus, capable de créer de l’action collective, capable d’entraîner des personnes vers un objectif partagé et de mobiliser autour d’un projet, qui veut transformer le monde ou changer le cours des choses.
Selon Mme Kinouani, il y a actuellement beaucoup de femmes qui travaillent, mais le plus souvent dans l’ombre, et le travail qu’elles font n’est pas rendu public par ce qu’elles ne sont pas connues et parce qu’elles travaillent de manière isolée.
Elle a jouté qu’à partir d’une liste qu’on va établir, un réseau des femmes sera créé, et à partir de ce réseau, les femmes auront un agenda commun de toutes les activités qu’elles vont mener sur le terrain.
Notons que la tenue de cet atelier répond à l’une des recommandations formulées le 30 octobre dernier, lors de la journée de sensibilisation des femmes leaders à la promotion de la résolution 1325 des Nations Unies.
