Cette session de formation vise à mettre à la disposition des élèves policiers des outils nécessaires sur le thème retenu pour leur permettre de se déployer sur le terrain et d’être proches de la population.
Le Commissaire principal, René Bonang s’est réjoui de cette session de formation initiée par la MINUSCA, à l’intention des jeunes policiers, qui vont s’approprier des connaissances sur les droits de l’homme, afin de leur permettre de bien s’appliquer quand ils seront en fonction et de lutter contre les violations graves et les abus sexuels.
La Cheffe de bureau de la cellule de coordination, Irène Kouassi a fait savoir qu’aujourd’hui, « la République Centrafricaine cherche des voies et moyens pour rétablir la sécurité sur l’ensemble du son territoire. C’est pour la MINUSCA, à travers la division des droits de l’homme, d’accompagner ce vaste programme, en renforçant les capacités des forces de défense et de sécurité (FSI) qui seront déployés sur le terrain ».
« Les droits de l’homme impliquent aussi la protection des femmes et des enfants, lesquels sont des populations vulnérables en temps de paix qu’en temps de crise. Les violences sexuelles liées aux conflits et les violations des droits des enfants constituent aujourd’hui un grand défi pour la communauté internationale. La MINUSCA en a fait un des objectifs essentiels pour le rétablissement de la paix et de la sécurité en Centrafrique », a souligné Irène Kouassi.
Il convient de signaler que cette session de formation, organisée par le ministère de la Sécurité publique avec le concours technique et financier de la MINUSCA, s’étendra sur une période de dix jours avec un groupe de 60 élèves policiers par jour et prendre fin le 13 mai prochain.
Le Commissaire principal, René Bonang s’est réjoui de cette session de formation initiée par la MINUSCA, à l’intention des jeunes policiers, qui vont s’approprier des connaissances sur les droits de l’homme, afin de leur permettre de bien s’appliquer quand ils seront en fonction et de lutter contre les violations graves et les abus sexuels.
La Cheffe de bureau de la cellule de coordination, Irène Kouassi a fait savoir qu’aujourd’hui, « la République Centrafricaine cherche des voies et moyens pour rétablir la sécurité sur l’ensemble du son territoire. C’est pour la MINUSCA, à travers la division des droits de l’homme, d’accompagner ce vaste programme, en renforçant les capacités des forces de défense et de sécurité (FSI) qui seront déployés sur le terrain ».
« Les droits de l’homme impliquent aussi la protection des femmes et des enfants, lesquels sont des populations vulnérables en temps de paix qu’en temps de crise. Les violences sexuelles liées aux conflits et les violations des droits des enfants constituent aujourd’hui un grand défi pour la communauté internationale. La MINUSCA en a fait un des objectifs essentiels pour le rétablissement de la paix et de la sécurité en Centrafrique », a souligné Irène Kouassi.
Il convient de signaler que cette session de formation, organisée par le ministère de la Sécurité publique avec le concours technique et financier de la MINUSCA, s’étendra sur une période de dix jours avec un groupe de 60 élèves policiers par jour et prendre fin le 13 mai prochain.