Le passage de deux aéronefs pendant la parade militaire marque la montée en puissance des Forces armées centrafricaines (FACA)
Avant d'assister à ce défilé d'environ trois heures de temps, le Président Faustin Archange Touadéra a remis des médailles à une dizaine de personnalités marquantes de la vie publique, à l’instar de la présidente de l’Autorité nationale des élections, Marie-Madeleine N’Koué Hornaert, et du président du Conseil économique et social, Alfred Taïnga Poloko.
Les forces de défense et de sécurité, en général, et l'armée nationale en cours de reconstruction, en particulier, ont saisi l'occasion de ce défilé pour présenter au public les effectifs, matériels et autres attributs susceptibles de redonner confiance aux populations, au moment où plusieurs localités de l'arrière-pays font l'objet d'attaques dus à des groupes armés.
Ils ont ensuite cédé la place aux forces vives de la vie civile, à savoir les élèves et étudiants, les majorettes, les fonctionnaires des différents départements ministériels, les confessions religieuses, les travailleurs du secteur privée, les partis politiques, etc.
"Notre armée est en train de renaître, elle est bien équipée, bien formée donc ça donne de l’espoir de retrouver la paix, la sécurité et la cohésion sociale", s'est réjoui l'ancien ministre de la Communication, Bruno Yapandé, qui a exhorté les centrafricains à se mobiliser pour bâtir l’avenir.
La création de la République Centrafricaine en lieu et place de la colonie française de l'Oubangui-Chari a été officiellement proclamée le 1er décembre 1958 par le président du Grand Conseil de l'Afrique équatoriale française (AEF), l'Abbé Barthélemy Boganda, qui mourra quelques mois plus tard, le 29 mars 1959, dans un crash d'avion, après avoir planté le drapeau de la jeune République Centrafricaine à Berbérati (600 km à l'ouest de Bangui), chef-lieu de l'actuelle préfecture de la Mambéré-Kadéï.
Les forces de défense et de sécurité, en général, et l'armée nationale en cours de reconstruction, en particulier, ont saisi l'occasion de ce défilé pour présenter au public les effectifs, matériels et autres attributs susceptibles de redonner confiance aux populations, au moment où plusieurs localités de l'arrière-pays font l'objet d'attaques dus à des groupes armés.
Ils ont ensuite cédé la place aux forces vives de la vie civile, à savoir les élèves et étudiants, les majorettes, les fonctionnaires des différents départements ministériels, les confessions religieuses, les travailleurs du secteur privée, les partis politiques, etc.
"Notre armée est en train de renaître, elle est bien équipée, bien formée donc ça donne de l’espoir de retrouver la paix, la sécurité et la cohésion sociale", s'est réjoui l'ancien ministre de la Communication, Bruno Yapandé, qui a exhorté les centrafricains à se mobiliser pour bâtir l’avenir.
La création de la République Centrafricaine en lieu et place de la colonie française de l'Oubangui-Chari a été officiellement proclamée le 1er décembre 1958 par le président du Grand Conseil de l'Afrique équatoriale française (AEF), l'Abbé Barthélemy Boganda, qui mourra quelques mois plus tard, le 29 mars 1959, dans un crash d'avion, après avoir planté le drapeau de la jeune République Centrafricaine à Berbérati (600 km à l'ouest de Bangui), chef-lieu de l'actuelle préfecture de la Mambéré-Kadéï.