Il s'agit de Idriss Ahmed El Bashar, Yaya Idriss et Line Angou Aneser du Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC), stoppés par la force de la MINUSCA le Dimanche 26 Février dernier alors qu’ils progressaient vers la ville de Bambari, tenue il y a encore quelques jours par les éléments du Mouvement pour l’Unité en Centrafrique (UPC) dirigé par Ali Darass.
Ces derniers ont violé la ligne rouge en s’approchant de la ville de Bambari avec des AK47 et des RPG, indique le communiqué, ajoutant que «de tels actes d’agression peuvent constituer des actes de guerre et que leurs auteurs seront poursuivis devant les tribunaux nationaux et internationaux ».
« L’action de la MINUSCA vise entre autres à aider les autorités nationales à réduire la présence et la menace des groupes armés, conformément à la résolution du Conseil de Sécurité», souligne le communiqué.
Il dénonce par ailleurs les pressions exercées actuellement par la coalition du FPRC sur les personnes déplacées à Ippy (Est de Bambari), en empêchant les civils de quitter la localité.
Il demande enfin "aux leaders de cette coalition de mettre fin immédiatement à ces interdictions et à se conformer au droit national et international sur la libre circulation des personnes", précisant qu’ils seront tenus responsables pour toute violation.
La mise en garde de la MINUSCA intervient une semaine après le début de l'évacuation de la ville de Bambari par les leaders des groupes armés qui menaçaient d'en faire un champ de bataille avec des conséquences désastreuses pour les populations civiles.
Ces derniers ont violé la ligne rouge en s’approchant de la ville de Bambari avec des AK47 et des RPG, indique le communiqué, ajoutant que «de tels actes d’agression peuvent constituer des actes de guerre et que leurs auteurs seront poursuivis devant les tribunaux nationaux et internationaux ».
« L’action de la MINUSCA vise entre autres à aider les autorités nationales à réduire la présence et la menace des groupes armés, conformément à la résolution du Conseil de Sécurité», souligne le communiqué.
Il dénonce par ailleurs les pressions exercées actuellement par la coalition du FPRC sur les personnes déplacées à Ippy (Est de Bambari), en empêchant les civils de quitter la localité.
Il demande enfin "aux leaders de cette coalition de mettre fin immédiatement à ces interdictions et à se conformer au droit national et international sur la libre circulation des personnes", précisant qu’ils seront tenus responsables pour toute violation.
La mise en garde de la MINUSCA intervient une semaine après le début de l'évacuation de la ville de Bambari par les leaders des groupes armés qui menaçaient d'en faire un champ de bataille avec des conséquences désastreuses pour les populations civiles.