Simplice Mathieu Sarandji a exhorté les jeunes médecins, qui ont soutenu leur thèse de doctorat en début de semaine, à respecter le serment d’Hippocrate dans l’exercice de leur métier.
Le ministre de l’Education Nationale, Moukadas Noure, les a prévenu que l’obtention d’un diplôme n’est pas une fin en soi, mais que les médecins doivent se perfectionner pour affronter de nouveaux défis de la santé publique et des cas de maladies rares.
Il a souligné que la médecine est un métier exaltant mais qui a des contraintes d’ordre matériel, moral etc. mais ses spécialistes doivent se souvenir de leur serment d’Hippocrate pour mener à bien leur métier.
Le Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé (FACSS), Gérard Grézenguet, a déclaré que malgré les crises récurrentes, les conditions de travail difficiles, l’Université de Bangui continue de produire des résultats de travail éclatants.
« La sortie de ces 65 lauréats constitue un motif de fierté, quand bien même la tâche est difficile, il faut s’y prendre en vue de contribuer au développement de la santé du peuple centrafricain, en général », a- t-il ajouté.
Il convient de noter que c’est dans le cadre de la coopération universitaire qu’un jury international composé de 9 membres, s’est déplacé ici pour valider les résultats des recherches des impétrants.
Rappelons que ce jury international est constitué d’un Français, d'un congolais (Bazzaville), d'un Camerounais et d’un Ivoirien.
Le ministre de l’Education Nationale, Moukadas Noure, les a prévenu que l’obtention d’un diplôme n’est pas une fin en soi, mais que les médecins doivent se perfectionner pour affronter de nouveaux défis de la santé publique et des cas de maladies rares.
Il a souligné que la médecine est un métier exaltant mais qui a des contraintes d’ordre matériel, moral etc. mais ses spécialistes doivent se souvenir de leur serment d’Hippocrate pour mener à bien leur métier.
Le Doyen de la Faculté des Sciences de la Santé (FACSS), Gérard Grézenguet, a déclaré que malgré les crises récurrentes, les conditions de travail difficiles, l’Université de Bangui continue de produire des résultats de travail éclatants.
« La sortie de ces 65 lauréats constitue un motif de fierté, quand bien même la tâche est difficile, il faut s’y prendre en vue de contribuer au développement de la santé du peuple centrafricain, en général », a- t-il ajouté.
Il convient de noter que c’est dans le cadre de la coopération universitaire qu’un jury international composé de 9 membres, s’est déplacé ici pour valider les résultats des recherches des impétrants.
Rappelons que ce jury international est constitué d’un Français, d'un congolais (Bazzaville), d'un Camerounais et d’un Ivoirien.