Ladite session a pour objectif de statuer sur la production et les prévisions de l’économie centrafricaine à l’horizon 2023.
Le communiqué de presse conjoint à l’issu de cette session montre que les membres du CNEF ont pris acte de la poursuite de la reprise des activités économiques au mois de septembre dernier en rapport avec le repli des tensions sécuritaire et sanitaire et la vigueur de la demande intérieure.
« Toutefois cette reprise demeure extrêmement fragile en liaison avec les effets de la guerre en Ukraine, dont les conséquences continuent de peser sur certains secteurs productifs, notamment les industries manufacturières, les BTP et le commerce des produits pétroliers » a poursuivi le même communiqué.
En ce qui concerne les perspectives macroéconomiques pour cette année, ledit communiqué rapporte que ses perspectives seraient caractérisées par : une croissance du PIB réel de 1,7% l’année dernière, une exacerbation des tensions inflationnistes à 5,1% une année au par avant.
Le CNEF constate qu’une légère augmentation du déficit du compte courant, qui passerait de 10% du PIB l’année dernière à 10,3% du PIB cette année, et aussi une progression de 6,6% de la masse monétaire contre 13,5% un an plus tôt.
Poursuivant ses travaux, les membres du CNEF ont pris note de l’évolution du système bancaire au 31 aout 2022, de celle des établissements de la micro finance à fin juin de même année et la situation du marché financer régional à fin septembre dernier.
Les membres du CNEF ont en outre pris connaissance de la situation du Taux Effectif Global (TEG) au troisième trimestre 2022, du rapport d’activité du CNEF de l’année 2021 de l’exécution du budget en 2022 et adopté le budget de l’exercice 2023.
Il faut signaler que durant cette session, le Ministre des Finances et du Budget a apposé sa signature sur un second communiqué de presse relatif au taux d’Usure.
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Le communiqué de presse conjoint à l’issu de cette session montre que les membres du CNEF ont pris acte de la poursuite de la reprise des activités économiques au mois de septembre dernier en rapport avec le repli des tensions sécuritaire et sanitaire et la vigueur de la demande intérieure.
« Toutefois cette reprise demeure extrêmement fragile en liaison avec les effets de la guerre en Ukraine, dont les conséquences continuent de peser sur certains secteurs productifs, notamment les industries manufacturières, les BTP et le commerce des produits pétroliers » a poursuivi le même communiqué.
En ce qui concerne les perspectives macroéconomiques pour cette année, ledit communiqué rapporte que ses perspectives seraient caractérisées par : une croissance du PIB réel de 1,7% l’année dernière, une exacerbation des tensions inflationnistes à 5,1% une année au par avant.
Le CNEF constate qu’une légère augmentation du déficit du compte courant, qui passerait de 10% du PIB l’année dernière à 10,3% du PIB cette année, et aussi une progression de 6,6% de la masse monétaire contre 13,5% un an plus tôt.
Poursuivant ses travaux, les membres du CNEF ont pris note de l’évolution du système bancaire au 31 aout 2022, de celle des établissements de la micro finance à fin juin de même année et la situation du marché financer régional à fin septembre dernier.
Les membres du CNEF ont en outre pris connaissance de la situation du Taux Effectif Global (TEG) au troisième trimestre 2022, du rapport d’activité du CNEF de l’année 2021 de l’exécution du budget en 2022 et adopté le budget de l’exercice 2023.
Il faut signaler que durant cette session, le Ministre des Finances et du Budget a apposé sa signature sur un second communiqué de presse relatif au taux d’Usure.
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