
Cette visite de travail a permis au Président français de donner une nouvelle orientation à la force française de l’opération Sangaris et s’entretenir avec la Présidente de transition, Mme Catherine Samba-Panza, sur le rétablissement de la sécurité à Bangui et dans l’arrière pays.
"Votre mission prend aujourd'hui une nouvelle dimension à mesure qu'elle avance, à mesure qu'elle réussit", dit François Hollande devant les soldats de l'opération Sangaris, estimant que des "progrès significatifs" avaient été réalisés depuis trois mois.
"Nous avons besoin de présence, de présence à Bangui, de présence partout sur le territoire centrafricain."
"Quel est maintenant notre objectif ? C'est de sécuriser non seulement la capitale mais l'ouest du pays, où sévissent encore des milices particulièrement dures, et où nous devons tout faire pour les désarmer", a ajouté François Hollande, évoquant la route qui relie Bangui au Cameroun, cruciale pour assurer l'approvisionnement de la population.
"À l'est et au nord, nous devons faire cesser, lorsqu'ils existent, des règlements de compte, établir l'autorité du gouvernement, lui permettre d'engager le dialogue, et éviter qu'il y ait la moindre tentation de partition à l'est de la Centrafrique", a déclaré François Hollande vendredi.
L'arrivée programmée d'un millier de militaires de la force Eufor-RCA, qui se concentreront sur la sécurisation de la zone de l'aéroport de Bangui, doit permettre aux soldats français et à leurs alliés africains de se déployer dans d'autres régions.
Fin mars, entre les militaires africains, français et européens, il y aura 9.000 soldats dans le pays, a indiqué vendredi François Hollande, qui une fois de plus plaide pour qu'une mission de l'Onu prenne le relais d'ici l'été prochain.
Il convient de rappeler que le Président français, François Hollande était venu pour la première fois à Bangui, le 10 décembre dernier sur le chemin de retour de l’Afrique du Sud où il avait pris part aux obsèques de l’ancien Président Nelson Mandela décédé le 5 décembre 2013.
"Votre mission prend aujourd'hui une nouvelle dimension à mesure qu'elle avance, à mesure qu'elle réussit", dit François Hollande devant les soldats de l'opération Sangaris, estimant que des "progrès significatifs" avaient été réalisés depuis trois mois.
"Nous avons besoin de présence, de présence à Bangui, de présence partout sur le territoire centrafricain."
"Quel est maintenant notre objectif ? C'est de sécuriser non seulement la capitale mais l'ouest du pays, où sévissent encore des milices particulièrement dures, et où nous devons tout faire pour les désarmer", a ajouté François Hollande, évoquant la route qui relie Bangui au Cameroun, cruciale pour assurer l'approvisionnement de la population.
"À l'est et au nord, nous devons faire cesser, lorsqu'ils existent, des règlements de compte, établir l'autorité du gouvernement, lui permettre d'engager le dialogue, et éviter qu'il y ait la moindre tentation de partition à l'est de la Centrafrique", a déclaré François Hollande vendredi.
L'arrivée programmée d'un millier de militaires de la force Eufor-RCA, qui se concentreront sur la sécurisation de la zone de l'aéroport de Bangui, doit permettre aux soldats français et à leurs alliés africains de se déployer dans d'autres régions.
Fin mars, entre les militaires africains, français et européens, il y aura 9.000 soldats dans le pays, a indiqué vendredi François Hollande, qui une fois de plus plaide pour qu'une mission de l'Onu prenne le relais d'ici l'été prochain.
Il convient de rappeler que le Président français, François Hollande était venu pour la première fois à Bangui, le 10 décembre dernier sur le chemin de retour de l’Afrique du Sud où il avait pris part aux obsèques de l’ancien Président Nelson Mandela décédé le 5 décembre 2013.