Interrogé par l'ACAP au sortir d'un atelier l''envoyé spécial de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Louis Michel, a déclaré que la séparation des pouvoirs n’implique pas la concurrence.
"La séparation des pouvoirs est un élément fondamental de recherche de l’équilibre entre les différents pouvoirs et les institutions qui les appuient », a-t-il souligné.
Pour l'avocat Robert Dossou, ancien président de la Cour Constitutionnel du Bénin, la séparation des pouvoirs ne signifie pas opposition des pouvoirs, ni isolement d’un pouvoir par rapport à l’autre.
"C’est pour éviter l’absolutisme et la dictature que les fonctions de l’Etat sont répartis en différents organes pour que les fonctions ne soient pas concentrées entre les mains d’un seul homme comme ce fut le cas de la monarchie", a-t-il expliqué.
Selon lui, pour que les pouvoirs fonctionnent en harmonie, il faut que chacun respecte les règles que la constitution ou la loi a prescrit au niveau de sa compétence et de sa procédure.
Pour José Christian Loundoumon, président de la Haute Cour de justice, il n’y a pas de chevauchement ou de cloisonnement entre les différents pouvoirs et Institutions de la RCA .
« Les champs de compétence sont très délimités et en les respectant, nous collaborons », a-t-il ajouté.
Il a formulé le vœu de voir les chefs des différents institutions et pouvoirs modifier et améliorer leurs comportements pour permettre à cette fonction primaire de l’Etat d’assurer à la population la stabilité, la sérénité et le bien-être.
Ouverts samedi 17 mars par le Président Faustin Archange Touadéra, les travaux de ces assises qui bénéficient de l'apport de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) devraient prendre fin lundi 19 mars 2018 à Bangui.
"La séparation des pouvoirs est un élément fondamental de recherche de l’équilibre entre les différents pouvoirs et les institutions qui les appuient », a-t-il souligné.
Pour l'avocat Robert Dossou, ancien président de la Cour Constitutionnel du Bénin, la séparation des pouvoirs ne signifie pas opposition des pouvoirs, ni isolement d’un pouvoir par rapport à l’autre.
"C’est pour éviter l’absolutisme et la dictature que les fonctions de l’Etat sont répartis en différents organes pour que les fonctions ne soient pas concentrées entre les mains d’un seul homme comme ce fut le cas de la monarchie", a-t-il expliqué.
Selon lui, pour que les pouvoirs fonctionnent en harmonie, il faut que chacun respecte les règles que la constitution ou la loi a prescrit au niveau de sa compétence et de sa procédure.
Pour José Christian Loundoumon, président de la Haute Cour de justice, il n’y a pas de chevauchement ou de cloisonnement entre les différents pouvoirs et Institutions de la RCA .
« Les champs de compétence sont très délimités et en les respectant, nous collaborons », a-t-il ajouté.
Il a formulé le vœu de voir les chefs des différents institutions et pouvoirs modifier et améliorer leurs comportements pour permettre à cette fonction primaire de l’Etat d’assurer à la population la stabilité, la sérénité et le bien-être.
Ouverts samedi 17 mars par le Président Faustin Archange Touadéra, les travaux de ces assises qui bénéficient de l'apport de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) devraient prendre fin lundi 19 mars 2018 à Bangui.