Le porte-parole du gouvernement, Ange Maxime Kazagui
« Il n’y a aucune initiative parallèle à celle de l’UA, et le déclarer comme tel est une contre-vérité flagrante dans le sens où l’initiative menée par le Soudan avait pour unique but de faciliter les préparatifs de la tenue du dialogue de l’Union africaine », a déclaré M. Kazagui.
Selon lui, cette vérité a été réitérée lors de la dernière Assemblée générale des Nations-Unies à New-York à la fois par la République du Soudan, la Fédération de Russie et la République Centrafricaine.
Le ministre porte-parole du gouvernement a indiqué que « le cadre de référence du processus de paix en Centrafrique est bel et bien la feuille de route de l’UA et que cette feuille prescrit bel et bien un dialogue sous format le gouvernement/groupes armés dans le but d’accélérer le désarmement global des groupes qui détiennent encore des armes ».
« Le dialogue inclusif peut se justifier par le fait qu’il n’y a pas de crise institutionnelle dans notre pays, et qu’il y a eu plusieurs dialogues inclusifs dont les conclusions sont exécutées et prises en compte progressivement », a-t-il souligné.
Le gouvernement a prévu d’organiser à partir d’un certain niveau un débat élargi avec les associations des victimes, la société civile, les partis politiques en vue de faire un point détaillé du processus, avec en prime une clarification de la méthodologie, les modalités de mise en œuvre et les actions à réaliser après le dialogue, a-t-il soutenu.
Il s’est réjoui de l’appui constant de la communauté internationale pour la réussite des discussions en perspective avec les groupes armés et a invité toutes les parties prenantes à conforter chaque jour davantage les processus de paix et de réconciliation dans l’intérêt de toutes les composantes du peuple centrafricain.
Selon lui, cette vérité a été réitérée lors de la dernière Assemblée générale des Nations-Unies à New-York à la fois par la République du Soudan, la Fédération de Russie et la République Centrafricaine.
Le ministre porte-parole du gouvernement a indiqué que « le cadre de référence du processus de paix en Centrafrique est bel et bien la feuille de route de l’UA et que cette feuille prescrit bel et bien un dialogue sous format le gouvernement/groupes armés dans le but d’accélérer le désarmement global des groupes qui détiennent encore des armes ».
« Le dialogue inclusif peut se justifier par le fait qu’il n’y a pas de crise institutionnelle dans notre pays, et qu’il y a eu plusieurs dialogues inclusifs dont les conclusions sont exécutées et prises en compte progressivement », a-t-il souligné.
Le gouvernement a prévu d’organiser à partir d’un certain niveau un débat élargi avec les associations des victimes, la société civile, les partis politiques en vue de faire un point détaillé du processus, avec en prime une clarification de la méthodologie, les modalités de mise en œuvre et les actions à réaliser après le dialogue, a-t-il soutenu.
Il s’est réjoui de l’appui constant de la communauté internationale pour la réussite des discussions en perspective avec les groupes armés et a invité toutes les parties prenantes à conforter chaque jour davantage les processus de paix et de réconciliation dans l’intérêt de toutes les composantes du peuple centrafricain.