Ouverture à Bangui de l’atelier de validation du document relatif à la restauration des forêts et des paysages

Bangui, 14 juin (ACAP)- Le Chargé de Mission en matière de chasse et pêche au Ministère de l’Environnement, du Développement Durable, des Eaux et Forêts, Chasse et Pêche, Barthélémy Kaïmba, a ouvert, mercredi 14 juin 2017 à Bangui, l’atelier de validation du document GCP/CAF/001/ GFF «Restauration des forêts et des paysages en soutien au renforcement de la résilience et à l’amélioration des moyens d’existence des communautés en République Centrafricaine ».



Barthélémy Kaïmba (au centre) à l'ouverture de l'atelier
Barthélémy Kaïmba (au centre) à l'ouverture de l'atelier
Le but de cet atelier est de valider ce document qui sera soumis au Conseil du Fonds des Nations-Unies pour l’Environnement Mondial d’ici le mois de juillet 2017.
 
Le Chargé de Mission, Barthélémy Kaïmba, a expliqué que cet atelier de validation du document de projet de restauration des forêts et des paysages s’inscrit dans la volonté du gouvernement de promouvoir le développement local à travers la mise en œuvre de ses engagements internationaux en matière de forêt, biodiversité et environnement.
 
Il a souligné que le département de l’environnement se préoccupe au quotidien de la mobilisation des ressources et de la mise en œuvre des activités qui concourent à l’atteinte de ces priorités, en vue de la consolidation et de l’amélioration des moyens d’existence des communautés locales et de la réduction de la pauvreté.
 
Il a remercié le Fonds des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) pour son appui multiforme en faveur de la République Centrafricaine.
 
Pour le Représentant de la FAO, Jean-Alexandre Scaglia, le présent atelier de validation clôture le processus de formulation du document lancé en décembre 2016 et permettra aux parties prenantes d’examiner et de s’accorder sur les 4 composantes du projet et leur budget respectif, les arrangements institutionnels ainsi que le calendrier de mise en œuvre.
 
Il a encouragé la participation active de tous, autorités nationales, organisations professionnelles, population des zones forestières et leurs représentants à contribuer de manière dynamique à la réussite de ce projet.
 
Il convient de rappeler que ce projet est cofinancé par la FAO et le Fonds des Nations-Unies pour l’Environnement Mondial (FEM).
 

 
 
  
 

Mercredi 14 Juin 2017
Etienne Vikoma/ACAP