Ouverture à Bangui d’une assemblée générale de la plateforme de la société civile pour le renforcement du système de santé en Centrafrique

Bangui, 12 avr. (ACAP)- Le chargé de mission aux affaires politiques et stratégiques au ministère de la Santé publique et de la Population, Marcel Mbeko Sinaleko, a présidé, vendredi 12 avril 2019 à Bangui, une assemblée générale ordinaire de la Plateforme des Organisations de la Société Civile pour la Vaccination et le Renforcement du Système de Santé en République Centrafricaine (POVRESSCA).



Photo de famille des participants à l'assemblée générale
Photo de famille des participants à l'assemblée générale
L’objectif de cette assemblée générale ordinaire est de doter la plateforme des Organisations de la société civile pour la vaccination et le renforcement du système de santé en Centrafrique (POVRESSCA) d’une vision et d’un mandat précis.
 
Le chargé de mission Marcel Mbeko Sinaleko a indiqué que «  la plateforme des organisations de la société civile pour la vaccination et le renforcement du système de santé en Centrafrique a été mise en place officiellement lundi 13 mars 2017 pour appuyer et accompagner l’Etat à renforcer le système de santé et fournir des services de vaccination ».
 
Il a souligné que cette plateforme composée de 62 organisations membres a besoin de s’appuyer sur l’expertise de ses membres et sur l’appui technique des partenaires étatiques, notamment le ministère en charge de la Santé, la direction de la santé de la reproduction, la direction des études et de la planification) et les partenaires intervenant dans le domaine de la santé, à savoir L’UNICEF, l'OMS, la Fédération internationale du Croissant-rouge, entre autres.
 
Selon  Martine Sorongopé, présidente de ladite organisation, «la plateforme des organisations de la société civile  pour la vaccination et le renforcement du système de santé en Centrafrique (POVRESSCA) qu’elle dirige présente des insuffisances institutionnelles et techniques qui affectent son  bon fonctionnement ».
 
Elle a souligné que la plateforme a notamment besoin d’un personnel apte à répondre convenablement aux attentes sans cesse croissantes de ses membres et partenaires ; qu’ elle devra aussi se doter d’un noyau solide de personnels techniques et d’un Conseil d’Administration qui a la capacité de mobiliser efficacement les différentes ressources et assurer également  le leadership.
 
Il faut rappeler que cette assemblée générale de 48 heures regroupe des participants venus du Niger, du Cameroun et de la République Centrafricaine.
 

Vendredi 12 Avril 2019
Jonas Bissanguim /ACAP