
L’objectif de cette Table ronde est de passer en revue le secteur de la sécurité sous l’angle humain, après cinq ans de mise en œuvre de la politique nationale de sécurité (PNS).
Le Conseiller chargé de la Reforme du secteur de Sécurité (RSS), le général Bruno Ouayolo a indiqué que la reforme du secteur de sécurité est un processus qui vise à répondre à tous les besoins de la sécurité et de la justice de toute la population. Elle est donc destinée à rendre plus efficace et légitime toutes les forces de défense et de sécurité.
Le général Bruno Ouayolo a évoqué que le bilan de la mise en œuvre de la stratégie nationale de la reforme du secteur de la sécurité indique clairement que les efforts de renforcement des capacités prévu sous le premier axe de la stratégie prime sur tous les autres résultats.
Il a déclaré que, pour que les institutions en charge du secteur de la sécurité en RCA, puissent remplir leurs missions régaliennes de manière efficace et dans le respect du contrôle démocratique de l’Etat de droit et des droits humains, les propositions amendées dans les recommandations doivent être priorisées.
«Les forces de sécurité intérieure (Gendarmerie et la Police Nationale), sont les garants de la sûreté et de la sécurité de la population ; de leurs droits et de leurs biens. Leur performance à un impact direct sur la sécurité humaine de la population et constitue un enjeu clé de la Reforme du Secteur de la Sécurité (RSS)», a souligné Bruno Ouayolo.
Il a soutenu que la faiblesse des capacités opérationnelles du secteur de la sécurité est le résultat d’une absence significative de la gestion rationnelle et transparente des ressources et moyens humains, financiers et matériels au sein des Etats -Majors et directions des forces nationales de sécurité ; mais aussi plus particulièrement au sein du ministère responsable de leur gestion et des institutions chargées de leurs soutien, suivi et contrôle.
Il faut noter que le plan est soutenu par la MINUSCA, l’EUTM, l’EUAM, la délégation de l’Union Européenne, l’Union Africaine, la Haute Autorité de la bonne gouvernance, la Banque Mondiale, et le PNUD.
Le Conseiller chargé de la Reforme du secteur de Sécurité (RSS), le général Bruno Ouayolo a indiqué que la reforme du secteur de sécurité est un processus qui vise à répondre à tous les besoins de la sécurité et de la justice de toute la population. Elle est donc destinée à rendre plus efficace et légitime toutes les forces de défense et de sécurité.
Le général Bruno Ouayolo a évoqué que le bilan de la mise en œuvre de la stratégie nationale de la reforme du secteur de la sécurité indique clairement que les efforts de renforcement des capacités prévu sous le premier axe de la stratégie prime sur tous les autres résultats.
Il a déclaré que, pour que les institutions en charge du secteur de la sécurité en RCA, puissent remplir leurs missions régaliennes de manière efficace et dans le respect du contrôle démocratique de l’Etat de droit et des droits humains, les propositions amendées dans les recommandations doivent être priorisées.
«Les forces de sécurité intérieure (Gendarmerie et la Police Nationale), sont les garants de la sûreté et de la sécurité de la population ; de leurs droits et de leurs biens. Leur performance à un impact direct sur la sécurité humaine de la population et constitue un enjeu clé de la Reforme du Secteur de la Sécurité (RSS)», a souligné Bruno Ouayolo.
Il a soutenu que la faiblesse des capacités opérationnelles du secteur de la sécurité est le résultat d’une absence significative de la gestion rationnelle et transparente des ressources et moyens humains, financiers et matériels au sein des Etats -Majors et directions des forces nationales de sécurité ; mais aussi plus particulièrement au sein du ministère responsable de leur gestion et des institutions chargées de leurs soutien, suivi et contrôle.
Il faut noter que le plan est soutenu par la MINUSCA, l’EUTM, l’EUAM, la délégation de l’Union Européenne, l’Union Africaine, la Haute Autorité de la bonne gouvernance, la Banque Mondiale, et le PNUD.