
Cette marche dite de soutien au nouveau régime de Bangui a été une occasion pour les organisateurs de tester la popularité du nouveau Président de la République issu du coup de force contre le pouvoir de François Bozizé, dimanche 24 mars 2013.
Profitant donc de la circonstance, le nouveau président de la République Michel Anmo Droko Djotodja a également promis de réunir autour de lui toutes les compétences nécessaires pour l’immense œuvre de reconstruction national.
Ne voulant pas tomber dans les errements du passé, Michel Anmo Droko Djotodja a juré qu’il est prompt à éviter au maximum les errements du passé, par un autre appel à l’endroit des Centrafricains qui ont pris le chemin de l’exil.
Evoquant la question de la sécurité du pays, Michel Anmo Droko Djotodja a mis en garde les auteurs des pillages et de la destruction des biens, lesquels seront traduits devants les instances compétences lorsqu’ils seront pris la main dans le sac.
Par la même occasion, cette mise en garde s’est adressée aux rebelles de l’Armée de Libération du Seigneur (LRA) qui écument depuis le sud-est de la République Centrafricaine.
Les hostilités de la Séléka, sous la forme d’une rébellion, étaient parties de la ville de Ndélé dans la préfecture du Bamingui Bangoran depuis le 10 décembre 2012. Elle a permis aux combattants de conquérir presque toute les villes intérieures du pays, avant de mettre le cap sur Bangui à compter du 20 mars de la même année.
Le nouveau Président Michel Anmo Droko Djotodja a émis le vœu que la rébellion qui l’a conduit au pouvoir soit la dernière en République Centrafricaine.
Sur ce point seulement, il y a lieu de rappeler que c’est par un coup d’Etat découlant d’une rébellion que le Président François Bozizé avait mis un terme au régime de Ange Félix Patassé le 15 mars 2003. La plupart des mécontents de la Séléka continuent de se réclamer comment étant les mécontents de son époque, puisque c’étaient eux qui l’avaient conduit au pouvoir en 2003.
Michel Anmo Droko Djotodja continue de reprocher au Président déchu François Bozizé son entêtement dans l’inobservation des accords de Libreville de janvier 2013 et le rôle de figurant assigné aux membres du gouvernement issus de la Séléka dans le gouvernement d’Union Nationale dirigé par Maître Nicolas Tiangaye.
Profitant donc de la circonstance, le nouveau président de la République Michel Anmo Droko Djotodja a également promis de réunir autour de lui toutes les compétences nécessaires pour l’immense œuvre de reconstruction national.
Ne voulant pas tomber dans les errements du passé, Michel Anmo Droko Djotodja a juré qu’il est prompt à éviter au maximum les errements du passé, par un autre appel à l’endroit des Centrafricains qui ont pris le chemin de l’exil.
Evoquant la question de la sécurité du pays, Michel Anmo Droko Djotodja a mis en garde les auteurs des pillages et de la destruction des biens, lesquels seront traduits devants les instances compétences lorsqu’ils seront pris la main dans le sac.
Par la même occasion, cette mise en garde s’est adressée aux rebelles de l’Armée de Libération du Seigneur (LRA) qui écument depuis le sud-est de la République Centrafricaine.
Les hostilités de la Séléka, sous la forme d’une rébellion, étaient parties de la ville de Ndélé dans la préfecture du Bamingui Bangoran depuis le 10 décembre 2012. Elle a permis aux combattants de conquérir presque toute les villes intérieures du pays, avant de mettre le cap sur Bangui à compter du 20 mars de la même année.
Le nouveau Président Michel Anmo Droko Djotodja a émis le vœu que la rébellion qui l’a conduit au pouvoir soit la dernière en République Centrafricaine.
Sur ce point seulement, il y a lieu de rappeler que c’est par un coup d’Etat découlant d’une rébellion que le Président François Bozizé avait mis un terme au régime de Ange Félix Patassé le 15 mars 2003. La plupart des mécontents de la Séléka continuent de se réclamer comment étant les mécontents de son époque, puisque c’étaient eux qui l’avaient conduit au pouvoir en 2003.
Michel Anmo Droko Djotodja continue de reprocher au Président déchu François Bozizé son entêtement dans l’inobservation des accords de Libreville de janvier 2013 et le rôle de figurant assigné aux membres du gouvernement issus de la Séléka dans le gouvernement d’Union Nationale dirigé par Maître Nicolas Tiangaye.