
Ce 54ème anniversaire a pour objectif de permettre aux Congolais de commémorer l’accession, le 30 juin 1960, à l’indépendance de leur pays, entretemps sous la domination belge, à la souveraineté internationale.
Se référant aux relations bilatérales, Mme Florence Limbio a exprimé la gratitude du gouvernement centrafricain à l’ambassadeur de la République Démocratique du Congo pour la mise par ce pays ami à la disposition de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafricaine (MISCA) 1.000 hommes, dont 850 soldats et 150 policiers.
Consciente que l’histoire de la République Démocratique du Congo et celle de la République Centrafricaine sont voisines, car il s’agit de pays tourmentés par les conflits, Mme Florence Limbio a émis le vœu que la Centrafrique s’inspire de l’expérience de son voisin du sud, avec qui elle partage plus de 1.600 kilomètres de frontière.
Quant à l’ambassadeur de la République Démocratique du Congo en République Centrafricaine, M. Gaspard Mugaruka Bin-Mubibi, il a fait preuve de confiance : « l’avenir des relations bilatérales entre la RD Congo et la République Centrafricaine est promoteur. Le retour de la paix et la reprise des activités économico-professionnelles en Centrafrique permettront aux deux peuples d’échanger sans aucune barrière », a-t-il soutenu.
Il a également mis l’accent sur « l’organisation rapide de la grande commission mixte RDC-RCA dont la dernière session a eu lieu à Bangui il y a 27 ans, du 16 au 18 mars 1987, en vue d’actualiser les dossiers en rapport avec la navigabilité sur l’Oubangui et le Mbomou et la mise sur pied des patrouilles mixtes de surveillance, comme cela se fait déjà entre la RD Congo, le Congo Brazzaville et l’Angola ».
Il s’est par ailleurs appesanti sur la revitalisation des projets intégrateurs tels que la coopération militaire et douanière ainsi que les échanges universitaires ; le projet pilote d’électrification transfrontalier concernant le barrage de Boali II et Boali III devant permettre l’alimentation de la ville congolaise de Zongo en courant électrique ; la réhabilitation du barrage de Mobaye Mbongo en RD Congo pour l’électrification de quelques localités centrafricaines, comme Mobaye, Ima Langadji, Kongbo, Alindao, Kémbé, Djimbi et Pavika, qui sont des projets financés par la Banque Africaine de Développement (BAD), la banque mondiale.
L’ambassadeur Gaspard Mugaruka Bin-Mubibi a lancé un appel aux acteurs sociopolitiques centrafricains et congolais pour qu’ils se ressaisissent et s’engagent dans la lutte contre le sous développement de l’Afrique, en commençant par leur propre pays respectifs.
Il a insisté sur le fait que les Centrafricains sont d’abord les premiers responsables de leur bien-être et qu’ils doivent savoir que c’est en se serrant les coudes qu’ils parviendront à vaincre leurs différences, à vaincre la pauvreté et à vaincre les barrières avilissantes qui ne leur permettent pas de réaliser le décollage économique de leur pays.
Se référant aux relations bilatérales, Mme Florence Limbio a exprimé la gratitude du gouvernement centrafricain à l’ambassadeur de la République Démocratique du Congo pour la mise par ce pays ami à la disposition de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafricaine (MISCA) 1.000 hommes, dont 850 soldats et 150 policiers.
Consciente que l’histoire de la République Démocratique du Congo et celle de la République Centrafricaine sont voisines, car il s’agit de pays tourmentés par les conflits, Mme Florence Limbio a émis le vœu que la Centrafrique s’inspire de l’expérience de son voisin du sud, avec qui elle partage plus de 1.600 kilomètres de frontière.
Quant à l’ambassadeur de la République Démocratique du Congo en République Centrafricaine, M. Gaspard Mugaruka Bin-Mubibi, il a fait preuve de confiance : « l’avenir des relations bilatérales entre la RD Congo et la République Centrafricaine est promoteur. Le retour de la paix et la reprise des activités économico-professionnelles en Centrafrique permettront aux deux peuples d’échanger sans aucune barrière », a-t-il soutenu.
Il a également mis l’accent sur « l’organisation rapide de la grande commission mixte RDC-RCA dont la dernière session a eu lieu à Bangui il y a 27 ans, du 16 au 18 mars 1987, en vue d’actualiser les dossiers en rapport avec la navigabilité sur l’Oubangui et le Mbomou et la mise sur pied des patrouilles mixtes de surveillance, comme cela se fait déjà entre la RD Congo, le Congo Brazzaville et l’Angola ».
Il s’est par ailleurs appesanti sur la revitalisation des projets intégrateurs tels que la coopération militaire et douanière ainsi que les échanges universitaires ; le projet pilote d’électrification transfrontalier concernant le barrage de Boali II et Boali III devant permettre l’alimentation de la ville congolaise de Zongo en courant électrique ; la réhabilitation du barrage de Mobaye Mbongo en RD Congo pour l’électrification de quelques localités centrafricaines, comme Mobaye, Ima Langadji, Kongbo, Alindao, Kémbé, Djimbi et Pavika, qui sont des projets financés par la Banque Africaine de Développement (BAD), la banque mondiale.
L’ambassadeur Gaspard Mugaruka Bin-Mubibi a lancé un appel aux acteurs sociopolitiques centrafricains et congolais pour qu’ils se ressaisissent et s’engagent dans la lutte contre le sous développement de l’Afrique, en commençant par leur propre pays respectifs.
Il a insisté sur le fait que les Centrafricains sont d’abord les premiers responsables de leur bien-être et qu’ils doivent savoir que c’est en se serrant les coudes qu’ils parviendront à vaincre leurs différences, à vaincre la pauvreté et à vaincre les barrières avilissantes qui ne leur permettent pas de réaliser le décollage économique de leur pays.