
Le but marche est de dénoncer l’accord de cessez le feu parallèle signé le 22 janvier dernier, qui non seulement remet en cause les institutions actuelle de la transition, et les méthodes terroristes de prise d’otages et rapts organisés par certains éléments Anti Balaka, mais d’exiger des forces internationales l’application immédiate de la résolution 2149 des Nations Unies par le désarmement forcé des bandes armées ; et réclamer la refondation rapide des Forces Armées Centrafricaines (FACA) pour participer à la sécurisation de la Centrafrique.
Le président d’organisation de cette marche, M. Renaldy Sioké a fait savoir que « nous ne pouvons pas aller à la réconciliation nationale sans qu’il ait la justice ».
Au cours de la marche, on peut lire entre autres sur les banderoles, « pas de désarmement pas d’élection ; désarmement forcé de séléka et anti-balaka ; non à l’embargo sur les armes destinées aux FACA ; non à l’amnistie générale et l’impunité, soutien au forum de réconciliation nationale de Bangui et enfin halte au sabotage de consultation populaire à la base ».
Il est à signaler que cette marche pour la paix, la sécurité et la justice a mobilisé tous les leaders des partis politiques en Centrafrique.
Le président d’organisation de cette marche, M. Renaldy Sioké a fait savoir que « nous ne pouvons pas aller à la réconciliation nationale sans qu’il ait la justice ».
Au cours de la marche, on peut lire entre autres sur les banderoles, « pas de désarmement pas d’élection ; désarmement forcé de séléka et anti-balaka ; non à l’embargo sur les armes destinées aux FACA ; non à l’amnistie générale et l’impunité, soutien au forum de réconciliation nationale de Bangui et enfin halte au sabotage de consultation populaire à la base ».
Il est à signaler que cette marche pour la paix, la sécurité et la justice a mobilisé tous les leaders des partis politiques en Centrafrique.