La présidente nationale des conseils centraux diocésains de la société Saint Vincent de Paul de Centrafrique, Clémence-Solange Bomesse, a remercié les responsables diocésains de l’arrière-pays pour leur participation à cette session très capitale pour l’édification des membres de la société Saint Vincent de Paul de Centrafrique.
Elle a invité les participants de province à bien relayer les connaissances acquises auprès de leurs confrères et consœurs qui n’ont pas pris part à ladite formation et de saisir rapidement le bureau national en cas de difficulté dans leur travail de restitution.
L’un des participants, Martin Ngono, le président du conseil central du diocèse de Bouar, qui exprimait sa satisfaction, a expliqué qu’à l’issue de ces 48 heures de formation, un responsable du conseil central d’un diocèse doit être capable de restituer, voire de mettre en pratique, les acquis de cette formation.
Il a souligné qu’il saura utiliser le langage facile pour restituer ce qu’il a appris ici et s’il le faut va même parler en sango (langue nationale) pour être compris de tous et plaide pour qu'une telle formation soit organisée régulièrement à l’intention des responsables des cellules de la société Saint Vincent de Paul de Centrafrique.
Il convient de rappeler qu’au terme de cette formation, qui a démarré le 19 avril, des certificats de fin de formation.
Elle a invité les participants de province à bien relayer les connaissances acquises auprès de leurs confrères et consœurs qui n’ont pas pris part à ladite formation et de saisir rapidement le bureau national en cas de difficulté dans leur travail de restitution.
L’un des participants, Martin Ngono, le président du conseil central du diocèse de Bouar, qui exprimait sa satisfaction, a expliqué qu’à l’issue de ces 48 heures de formation, un responsable du conseil central d’un diocèse doit être capable de restituer, voire de mettre en pratique, les acquis de cette formation.
Il a souligné qu’il saura utiliser le langage facile pour restituer ce qu’il a appris ici et s’il le faut va même parler en sango (langue nationale) pour être compris de tous et plaide pour qu'une telle formation soit organisée régulièrement à l’intention des responsables des cellules de la société Saint Vincent de Paul de Centrafrique.
Il convient de rappeler qu’au terme de cette formation, qui a démarré le 19 avril, des certificats de fin de formation.
