L’objectif visé par cet atelier de réflexion organisé en partenariat avec le Fonds des Nations-Unies pour l’Enfance (UNICEF) est de renforcer la capacité des leaders de la jeunesse qui vont être déployés sur les sites des personnes déplacées internes pour les sensibiliser sur l’esprit de non violence et de la culture de la paix.
La Ministre Antoinette Montaigne a expliqué que la République Centrafricaine traverse une période de son histoire où l’unité nationale, la cohésion sociale, l’acceptation de l’autre et la volonté de vivre ensemble sont mis à mal.
Selon elle, pour réapprendre à vivre ensemble, les jeunes qui sont à la fois victimes et acteurs potentiels de cette renaissance de notre pays doivent être préparés et encadrés afin de relever ce défi.
Elle a justifié l’implication du ministère des Affaires Etrangères et de la Francophonie dans la promotion de la culture de non violence, de la paix, de la tolérance et du civisme par le fait que l’Organisation Internationale de la Francophonie a inscrit toutes ses valeurs parmi ses principes fondamentaux.
Le membre du gouvernement a indiqué à ces jeunes qu’après cet atelier, ils auront la lourde charge de contribuer au changement de comportement mais aussi de jouer le rôle de leadership en vue d’influer positivement sur les mentalités et les attitudes au sein des communautés locale.
La Représentante adjointe de l’Unicef, Judith Leveillée a souligné pour sa part que pour ramener la cohésion sociale par la réconciliation nationale, il faut que les jeunes qui représentent la force de toute société se trouvent au cœur de ce processus.
Elle a encouragé les participants à tirer profit des enseignements qui seront développés tout au long de cet atelier afin de mieux percevoir la renouer le dialogue entre les différentes communautés qui se regardent en chien de faïence.
Elle a ensuite rassuré le gouvernement de l’engagement de son institution à soutenir notre pays à relever ce défi majeur.
La Ministre Antoinette Montaigne a expliqué que la République Centrafricaine traverse une période de son histoire où l’unité nationale, la cohésion sociale, l’acceptation de l’autre et la volonté de vivre ensemble sont mis à mal.
Selon elle, pour réapprendre à vivre ensemble, les jeunes qui sont à la fois victimes et acteurs potentiels de cette renaissance de notre pays doivent être préparés et encadrés afin de relever ce défi.
Elle a justifié l’implication du ministère des Affaires Etrangères et de la Francophonie dans la promotion de la culture de non violence, de la paix, de la tolérance et du civisme par le fait que l’Organisation Internationale de la Francophonie a inscrit toutes ses valeurs parmi ses principes fondamentaux.
Le membre du gouvernement a indiqué à ces jeunes qu’après cet atelier, ils auront la lourde charge de contribuer au changement de comportement mais aussi de jouer le rôle de leadership en vue d’influer positivement sur les mentalités et les attitudes au sein des communautés locale.
La Représentante adjointe de l’Unicef, Judith Leveillée a souligné pour sa part que pour ramener la cohésion sociale par la réconciliation nationale, il faut que les jeunes qui représentent la force de toute société se trouvent au cœur de ce processus.
Elle a encouragé les participants à tirer profit des enseignements qui seront développés tout au long de cet atelier afin de mieux percevoir la renouer le dialogue entre les différentes communautés qui se regardent en chien de faïence.
Elle a ensuite rassuré le gouvernement de l’engagement de son institution à soutenir notre pays à relever ce défi majeur.
