«Être dans des groupes armés, déposer les armes en état de fonctionnement ou non ainsi que tous les matériels militaires » sont les critères d'éligibilité retenus, a indiqué le chargé de communication de l’unité d’exécution du Plan national de désarmement (PNDDR), Benjamin Aymar Ngrégbamba Yanguéré.
« Cette mission de sensibilisation vise à outiller les communautés locales sur les critères d’éligibilité et les avantages y relatives afin de relayer à leur tour les messages pour une participation massive à ce processus », a-t-il expliqué.
Répondant aux questions des habitants, il a souligné le danger de la détention des armes blanches et les avantages de la réintégration communautaire, avant de prodiguer des conseils aux habitants de koursou sur les effets néfastes de la guerre dans le pays.
Cette confiance intercommunautaire et la réconciliation permettent l’amélioration de la perception communautaire sur le retour des ex-combattants et un changement positif dans le capital social ainsi que dans la communauté, en général.
Le pasteur de l’église Baptiste du village Koursou, Félix Renam, a offert sa disponibilité pour vulgariser ce message dans son église afin de favoriser le retour de la paix dans la localité.
Il convient de signaler que cette mission entamée le 15 février dernier a été conduite par le chargé de mission en relation avec les groupes armes, le colonel Martin Gbebondi.
« Cette mission de sensibilisation vise à outiller les communautés locales sur les critères d’éligibilité et les avantages y relatives afin de relayer à leur tour les messages pour une participation massive à ce processus », a-t-il expliqué.
Répondant aux questions des habitants, il a souligné le danger de la détention des armes blanches et les avantages de la réintégration communautaire, avant de prodiguer des conseils aux habitants de koursou sur les effets néfastes de la guerre dans le pays.
Cette confiance intercommunautaire et la réconciliation permettent l’amélioration de la perception communautaire sur le retour des ex-combattants et un changement positif dans le capital social ainsi que dans la communauté, en général.
Le pasteur de l’église Baptiste du village Koursou, Félix Renam, a offert sa disponibilité pour vulgariser ce message dans son église afin de favoriser le retour de la paix dans la localité.
Il convient de signaler que cette mission entamée le 15 février dernier a été conduite par le chargé de mission en relation avec les groupes armes, le colonel Martin Gbebondi.