Les auteurs présumés de ces forfaits répondent de plusieurs chefs d’accusations notamment association des malfaiteur, détention de munitions et armes de guerre, assassinat, crimes contre l’humanité et crimes de guerre, perpétrés à Bangassou, Bakouma, Rafaï et Béma, du 20 mars 2017 au 15 mai 2018, risquent des peines lourdes.
Pour le procureur, les Pseudo généraux, Béré-Béré ,Wakanam alias Pino-pino, Romaric Mbénguia –Yémbilinè méritent la peine de travaux forcés à perpétuité alors que tous leurs éléments vont écopé une peine de 20 ans chacun. Seuls les mineurs extraits du groupe vont faire l’objet d’une procédure de disjonction au tribunal pour les enfants.
Les avocats de la partie civile, constitués de Me Gbiégba , Panda , Morouba , Saramalé et Manguéréka ont tous souligné que leur demande est fondée et justifiée et réclament 5 milliards de francs à titre de dommage et accusent l’Etat centrafricain d’être le responsable moral de ces crimes.
Aussi, le conseil des victimes demande à l’État de réhabiliter les 723 maisons détruites, de construire la villa du Patriarche Kémba Alphonse, un monument à la mémoire des victimes.
Pour le procureur, les Pseudo généraux, Béré-Béré ,Wakanam alias Pino-pino, Romaric Mbénguia –Yémbilinè méritent la peine de travaux forcés à perpétuité alors que tous leurs éléments vont écopé une peine de 20 ans chacun. Seuls les mineurs extraits du groupe vont faire l’objet d’une procédure de disjonction au tribunal pour les enfants.
Les avocats de la partie civile, constitués de Me Gbiégba , Panda , Morouba , Saramalé et Manguéréka ont tous souligné que leur demande est fondée et justifiée et réclament 5 milliards de francs à titre de dommage et accusent l’Etat centrafricain d’être le responsable moral de ces crimes.
Aussi, le conseil des victimes demande à l’État de réhabiliter les 723 maisons détruites, de construire la villa du Patriarche Kémba Alphonse, un monument à la mémoire des victimes.
