Les femmes ont marché pour exprimer leur désapprobation par rapport à l’occupation des localités situées dans le nord-est et le centre de la République Centrafricaine et également les souffrances dont sont victimes les femmes et les enfants.
Mme Marguerite Koffio a, au nom des autres femmes qu’elle représente, émis le vœu de la formation d’un gouvernement de large ouverture comprenant les différentes sensibilités du pays en vue de décrisper la crise actuellement en cours dans le pays.
Elle a dénoncé l’incorporation des mercenaires soudanais, libyens et nigériens aux cotés des rebelles de la coalition Séléka.
Mme Margueritte Koffio a demandé aux chefs de l’Etat de la CEEAC de veiller au stricte respect des accords de Libreville, à la préservation du mandat du Président de la République François Bozizé jusqu’à son terme ainsi que le stricte respect des institutions de la République.
« Nous demandons aux groupes armés de taire leur colère, de libérer les zones sous leurs controles, d’aller aux négociations dans un esprit constructif afin d’éviter l’escalade de la violence dans le pays, qui risque de se traduire par des conflits ethniques et l’instabilité politique qui sont des freins au développement socioéconomique », a-t-elle dit.
La marche des femmes est la quatrième du genre après celle des députés, des jeunes, des forces vives de la nation.
Mme Marguerite Koffio a, au nom des autres femmes qu’elle représente, émis le vœu de la formation d’un gouvernement de large ouverture comprenant les différentes sensibilités du pays en vue de décrisper la crise actuellement en cours dans le pays.
Elle a dénoncé l’incorporation des mercenaires soudanais, libyens et nigériens aux cotés des rebelles de la coalition Séléka.
Mme Margueritte Koffio a demandé aux chefs de l’Etat de la CEEAC de veiller au stricte respect des accords de Libreville, à la préservation du mandat du Président de la République François Bozizé jusqu’à son terme ainsi que le stricte respect des institutions de la République.
« Nous demandons aux groupes armés de taire leur colère, de libérer les zones sous leurs controles, d’aller aux négociations dans un esprit constructif afin d’éviter l’escalade de la violence dans le pays, qui risque de se traduire par des conflits ethniques et l’instabilité politique qui sont des freins au développement socioéconomique », a-t-elle dit.
La marche des femmes est la quatrième du genre après celle des députés, des jeunes, des forces vives de la nation.