La violation fréquente de l’accord de cessez-le-feu démontre à suffisance que les rebelles ne respectent plus leurs représentants qui sont dans le Gouvernement d’Union Nationale (GUN). Ceux qui s’arrogent la paternité d’être les géniteurs de Séléka en disant toujours « Mes hommes…Mes hommes… »
Devraient inexorablement hurler leur indignation devant des comportements exécrables de cette dimension. Cela démontre la preuve de leur incurie politique qu’ils n’ont aucune autorité à instaurer.
Selon les informations parvenues au niveau de notre rédaction ces rebelles de la coalition séléka continuent d’enrôler des enfants soldats. Cet acte est Condamnable et relève d’une procédure ONUSIENNE en matière de répression de viol et esclavage sexuel. Pour le moment plus de cinquante filles sont enceintes de deux mois dans les villages Aladji, Gbadja et Wangué dans la localité de Damara.
La question est de savoir si ces gens partagent les valeurs traditionnelles encrées dans nos mœurs et coutumes en Afrique Centrale.
Signalons que la force restera toujours à la loi ; la Cour Pénale Internationale aura à se prononcer un jour sur le cas des auteurs de ces exactions qui sèment un spectacle de désolation au sein de nombreuses familles centrafricaines. Que le bon Dieu en ce temps de carême les bénisse.
Devraient inexorablement hurler leur indignation devant des comportements exécrables de cette dimension. Cela démontre la preuve de leur incurie politique qu’ils n’ont aucune autorité à instaurer.
Selon les informations parvenues au niveau de notre rédaction ces rebelles de la coalition séléka continuent d’enrôler des enfants soldats. Cet acte est Condamnable et relève d’une procédure ONUSIENNE en matière de répression de viol et esclavage sexuel. Pour le moment plus de cinquante filles sont enceintes de deux mois dans les villages Aladji, Gbadja et Wangué dans la localité de Damara.
La question est de savoir si ces gens partagent les valeurs traditionnelles encrées dans nos mœurs et coutumes en Afrique Centrale.
Signalons que la force restera toujours à la loi ; la Cour Pénale Internationale aura à se prononcer un jour sur le cas des auteurs de ces exactions qui sèment un spectacle de désolation au sein de nombreuses familles centrafricaines. Que le bon Dieu en ce temps de carême les bénisse.