
Le but de cette célébration est d'honorer la mémoire du Président-fondateur de la République Centrafricaine qui s'est battu pour libérer ses compatriotes de la servitude.
Le président Touadéra a indiqué que l'ancien Président Barthélémy Boganda nous a légué beaucoup de choses dont le drapeau, la devise, les cinq verbes du Mouvement pour l’Evolution Sociale en Afrique Noire (M .E.S.AN) qui cadrent aussi avec sa vision du développement.
Il a déploré les velléités de partition de certains de ses concitoyens, ce qui est contraire à la politique, voire à la vision de l'illustre disparu.
« Avec la crise, les Centrafricains se retrouvent dans le danger par la faute des autres Centrafricains qui pensent à faire des rackets, à spolier des Centrafricains ; c’est un moment où nous devrions prendre un peu du recul pour analyser tous ces éléments là», a-t-il souligné.
Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et de l’Administration du Territoire, Jean- Serge Bokassa, a estimé pour sa part que l’ancienne génération a le devoir de rétrocéder l’histoire à la génération montante.
« Et c'est à la génération que je partage cette vision, je pense qu’il est aussi important de se lever dans une espèce de quête pour retrouver nos repères et contribuer à reconstruire au travers des valeurs sûres qui pourront permettre à la République Centrafricaine de retrouver sa stabilité», a conclu le ministre Bokassa.
Il faut signaler qu'une grande parade militaire et un défilé civil ont mis fin à cette commémoration de Bobangui.
Le président Touadéra a indiqué que l'ancien Président Barthélémy Boganda nous a légué beaucoup de choses dont le drapeau, la devise, les cinq verbes du Mouvement pour l’Evolution Sociale en Afrique Noire (M .E.S.AN) qui cadrent aussi avec sa vision du développement.
Il a déploré les velléités de partition de certains de ses concitoyens, ce qui est contraire à la politique, voire à la vision de l'illustre disparu.
« Avec la crise, les Centrafricains se retrouvent dans le danger par la faute des autres Centrafricains qui pensent à faire des rackets, à spolier des Centrafricains ; c’est un moment où nous devrions prendre un peu du recul pour analyser tous ces éléments là», a-t-il souligné.
Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et de l’Administration du Territoire, Jean- Serge Bokassa, a estimé pour sa part que l’ancienne génération a le devoir de rétrocéder l’histoire à la génération montante.
« Et c'est à la génération que je partage cette vision, je pense qu’il est aussi important de se lever dans une espèce de quête pour retrouver nos repères et contribuer à reconstruire au travers des valeurs sûres qui pourront permettre à la République Centrafricaine de retrouver sa stabilité», a conclu le ministre Bokassa.
Il faut signaler qu'une grande parade militaire et un défilé civil ont mis fin à cette commémoration de Bobangui.