Le Président Touadéra et le ministre Masahisa Sato
Interrogé à l'issue de l'audience avec le président de la République, Masahisa Sato a indiqué que l'entretien a porté sur les modalités du renforcement des relations bilatérales entre les deux pays.
Il a également indiqué que son pays affiche sa détermination à appuyer la République Centrafricaine en invitant le Président Faustin Archange Touadéra à prendre part au Sommet de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD) prévu à Yokohama, au Japon, en 2019.
Avant l'audience avec accordée par le président de la République, le ministre japonais et sa délégation ont pris part à une réunion de concertation organisée aux ministère centrafricain des Affaires étrangères et à laquelle ont pris part les ministres Charles Armel Doubane et Chancel Sékodé Ndeugbayi, des Affaires étrangères, ainsi que Félix Moloua, de l'Economie et de la Coopération.
Masahisa Sato et sa suite devaient quitter Bangui, dimanche 6 mai 2018.
Il convient de rappeler que les relations entre Tokyo et Bangui s'étaient refroidies suite aux dégâts enregistrés par plusieurs projets japonais pendant le conflit armé qui avait secoué la République Centrafricaine entre 2002 et 2003.
Il a également indiqué que son pays affiche sa détermination à appuyer la République Centrafricaine en invitant le Président Faustin Archange Touadéra à prendre part au Sommet de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD) prévu à Yokohama, au Japon, en 2019.
Avant l'audience avec accordée par le président de la République, le ministre japonais et sa délégation ont pris part à une réunion de concertation organisée aux ministère centrafricain des Affaires étrangères et à laquelle ont pris part les ministres Charles Armel Doubane et Chancel Sékodé Ndeugbayi, des Affaires étrangères, ainsi que Félix Moloua, de l'Economie et de la Coopération.
Masahisa Sato et sa suite devaient quitter Bangui, dimanche 6 mai 2018.
Il convient de rappeler que les relations entre Tokyo et Bangui s'étaient refroidies suite aux dégâts enregistrés par plusieurs projets japonais pendant le conflit armé qui avait secoué la République Centrafricaine entre 2002 et 2003.