![le général Didier Brousse posant avec le général Zephirin Mamadou,les officiels ainsi que les nouveaux conseillers le général Didier Brousse posant avec le général Zephirin Mamadou,les officiels ainsi que les nouveaux conseillers](https://www.acap.cf/photo/art/default/32552028-30319589.jpg?v=1554900722)
le général Didier Brousse posant avec le général Zephirin Mamadou,les officiels ainsi que les nouveaux conseillers
L’objectif de cette visite est de présenter au chef d’état-major des armées, le général de brigade Zéphirin Mamadou, deux conseillers militaires français nouvellement accrédités auprès du bataillon amphibie.
Le général Didier Brousse a indiqué que cette visite concrétise l’appui de la France au bataillon Amphibie et plus largement à l’armée centrafricaine.
« Nous coopérons depuis longtemps avec le bataillon amphibie ; on a besoin de densifier cette coopération de manière à rendre plus opérationnel ce bataillon qui agit le long de la frontière fluviale », a-t-il souligné.
« La capacité modulaire du bataillon amphibie suscite la motivation des partenaires car on est d’abord fantassin avec la particularité de travailler sur l’eau », a fait savoir le capitaine de corvette Flavien Bongo Wakoro, chef de corps dudit bataillon.
Rappelons qu’au mois de février dernier, la France, à travers les éléments français du Gabon(EFG), a formé une trentaine de soldats de ce même bataillon sur les équipements d’embarcation remis bien avant.
La France, tout comme les autres partenaires (EUTM-RCA, USA,…) de la République Centrafricaine, participe à la reconstruction de l’armée centrafricaine amorcée depuis 2016 suite à la crise militaro politique de 2013 ayant entraîné le renversement du général François Bozizé par la coalition seleka.
Le général Didier Brousse a indiqué que cette visite concrétise l’appui de la France au bataillon Amphibie et plus largement à l’armée centrafricaine.
« Nous coopérons depuis longtemps avec le bataillon amphibie ; on a besoin de densifier cette coopération de manière à rendre plus opérationnel ce bataillon qui agit le long de la frontière fluviale », a-t-il souligné.
« La capacité modulaire du bataillon amphibie suscite la motivation des partenaires car on est d’abord fantassin avec la particularité de travailler sur l’eau », a fait savoir le capitaine de corvette Flavien Bongo Wakoro, chef de corps dudit bataillon.
Rappelons qu’au mois de février dernier, la France, à travers les éléments français du Gabon(EFG), a formé une trentaine de soldats de ce même bataillon sur les équipements d’embarcation remis bien avant.
La France, tout comme les autres partenaires (EUTM-RCA, USA,…) de la République Centrafricaine, participe à la reconstruction de l’armée centrafricaine amorcée depuis 2016 suite à la crise militaro politique de 2013 ayant entraîné le renversement du général François Bozizé par la coalition seleka.