
Faisant l’analyse sécuritaire du pays, il a fait observer que notre pays est divisé en deux, la partie l’ouest du pays est contrôlée par les anti-balaka et le nord-est par la séléka. D’où l’urgence ultime pour notre pays est d’imposer la paix et œuvrer pour que nos compatriotes qui se sont réfugiés à l’extérieur puissent rentrer au pays avant le processus électoral, parce que l’inverse serait une consécration de la division de la société centrafricaine.
Il a ajouté que l’ancienne opposition démocratique est pour la réconciliation. Cette réconciliation doit être la conséquence de la justice, parce que depuis plus longtemps dans notre pays, l’impunité a fait croire aux uns et aux autres, qu'ils peuvent se lever et disposer de la vie des centrafricains et de continuer comme de rien n’était.
« Il faudra que la justice soit rendue pour que la réconciliation parvienne d’elle-même comme en Afrique du sud et au Rwanda », a-t-il fait remarquer.
Il a ajouté que l’ancienne opposition démocratique est pour la réconciliation. Cette réconciliation doit être la conséquence de la justice, parce que depuis plus longtemps dans notre pays, l’impunité a fait croire aux uns et aux autres, qu'ils peuvent se lever et disposer de la vie des centrafricains et de continuer comme de rien n’était.
« Il faudra que la justice soit rendue pour que la réconciliation parvienne d’elle-même comme en Afrique du sud et au Rwanda », a-t-il fait remarquer.