Cette session ordinaire a permis au Président du CNT de donner les grandes orientations des actions parlementaires de l’année en cours qui consistent entre autres de contrôler les activités du gouvernement.
Parmi ses actions prioritaires, le CNT a demandé au gouvernement de procéder urgemment au déploiement des forces de police et de gendarmerie afin d’intervenir efficacement en appui aux opérations de sécurité intérieure engagées par les forces internationales. Mais aussi de l’implication des Forces Armées Centrafricaines (FACA) dans le processus de sécurisation et de pacification du pays.
Au sujet de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale, le Président Alexandre-Ferdinand Nguendet a exhorté le Gouvernement à poser des actes concrets afin de créer les conditions du pardon et de la réconciliation nationale, mais sans impunité.
Pour ce qui est de la relance économique et la reconstruction post-crise, il a fait savoir au gouvernement que les stratégies et les moyens à mettre en œuvre pour atteindre ses objectifs sont déjà définis dans sa feuille de route et il ne lui reste qu’à les appliquer.
Sur la préparation des élections, il a invité le gouvernement à fournir à l’Autorité Nationale des Elections (ANE) les moyens de son travail.
Le Président Alexandre-Ferdinand Nguendet a suggéré au gouvernement de s’employer à la recherche ses moyens propres afin d’accompagner les multiples actions de la communauté internationale.
En outre, il a décrié haut et fort que la partition de la République Centrafricaine n’est pas négociable et par conséquent, tous les centrafricains devraient se battre pour sauvegarder le caractère un et indivisible de la République, l’indépendance et la souveraineté nationale, et la sauvegarde de l’intégrité du territoire national.
Enfin, il a convié les ex-séléka et les anti-balaka à s’asseoir ensemble autour d’une table pour discuter de la question de la réconciliation nationale ainsi que de leur implication dans le processus du développement et de la sécurité.
Il a rappelé le bilan de la législature de l’année dernière qu’il considère de positif dans la mesure où le CNT avait eu à adopter plusieurs textes dont la Charte Constitutionnelle de Transition, le Code Electoral, la loi organique instituant la Cour Constitutionnelle de Transition et la loi organique instituant le Haut-Conseil de la Communication.
Parmi ses actions prioritaires, le CNT a demandé au gouvernement de procéder urgemment au déploiement des forces de police et de gendarmerie afin d’intervenir efficacement en appui aux opérations de sécurité intérieure engagées par les forces internationales. Mais aussi de l’implication des Forces Armées Centrafricaines (FACA) dans le processus de sécurisation et de pacification du pays.
Au sujet de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale, le Président Alexandre-Ferdinand Nguendet a exhorté le Gouvernement à poser des actes concrets afin de créer les conditions du pardon et de la réconciliation nationale, mais sans impunité.
Pour ce qui est de la relance économique et la reconstruction post-crise, il a fait savoir au gouvernement que les stratégies et les moyens à mettre en œuvre pour atteindre ses objectifs sont déjà définis dans sa feuille de route et il ne lui reste qu’à les appliquer.
Sur la préparation des élections, il a invité le gouvernement à fournir à l’Autorité Nationale des Elections (ANE) les moyens de son travail.
Le Président Alexandre-Ferdinand Nguendet a suggéré au gouvernement de s’employer à la recherche ses moyens propres afin d’accompagner les multiples actions de la communauté internationale.
En outre, il a décrié haut et fort que la partition de la République Centrafricaine n’est pas négociable et par conséquent, tous les centrafricains devraient se battre pour sauvegarder le caractère un et indivisible de la République, l’indépendance et la souveraineté nationale, et la sauvegarde de l’intégrité du territoire national.
Enfin, il a convié les ex-séléka et les anti-balaka à s’asseoir ensemble autour d’une table pour discuter de la question de la réconciliation nationale ainsi que de leur implication dans le processus du développement et de la sécurité.
Il a rappelé le bilan de la législature de l’année dernière qu’il considère de positif dans la mesure où le CNT avait eu à adopter plusieurs textes dont la Charte Constitutionnelle de Transition, le Code Electoral, la loi organique instituant la Cour Constitutionnelle de Transition et la loi organique instituant le Haut-Conseil de la Communication.