Répondant aux questions de la presse, le chef de l'Etat est revenu sur la tenue de la réunion de haut niveau sur la RCA qui a été " l'occasion de présenter les avancées, les réformes que nous avons envisagées depuis plus d'un an dans notre pays sur les questions de paix et sécurité, sur les questions de relance, sur les questions humanitaires".
Il a indiqué que cette réunion a également permis "de présenter les défis parce que nous avons dit que le retour à l'ordre constitutionnel ne veut pas dire l'arrêt de tous les problèmes. Y a encore des défis et il faudrait que la communauté internationale nous apporte son soutien".
Faustin Archange Touadéra a qualifié de "très fructueuse" sa rencontre avec le chef de l'Etat français, Emmanuel Macron, avec qui "les échanges ont été directs et clairs et nous sommes sorti de là satisfait de notre coopération avec la France et du soutien que la France compte nous apporter".
Le président de la République s'est par ailleurs réjoui d'avoir eu l'occasion, avec le Conseil des droits de l'Homme, "de montrer notre engagement à construire un Etat de droit, à renforcer la justice, le droit des victimes et à réaffirmer notre ferme détermination pour poursuivre le processus de justice que nous avons engagé dans notre pays, le soutien à la cour pénale spéciale, la mise en place du processus de justice transitionnelle avec la commission vérité, justice et réconciliation".
Il convient de rappeler que le chef de l'Etat a pris la parole devant l'Assemblée générale des Nations-Unies, le 22 septembre dernier à New-York, pour demander le renforcement des effectifs et des équipements de la MINUSCA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en République Centrafricaine) ainsi que l'allègement de l'embargo sur les armes à destination de la RCA.
Ces mesures visent à venir à bout des violences dues aux groupes armés qui opèrent dans l'arrière-pays.
Il a indiqué que cette réunion a également permis "de présenter les défis parce que nous avons dit que le retour à l'ordre constitutionnel ne veut pas dire l'arrêt de tous les problèmes. Y a encore des défis et il faudrait que la communauté internationale nous apporte son soutien".
Faustin Archange Touadéra a qualifié de "très fructueuse" sa rencontre avec le chef de l'Etat français, Emmanuel Macron, avec qui "les échanges ont été directs et clairs et nous sommes sorti de là satisfait de notre coopération avec la France et du soutien que la France compte nous apporter".
Le président de la République s'est par ailleurs réjoui d'avoir eu l'occasion, avec le Conseil des droits de l'Homme, "de montrer notre engagement à construire un Etat de droit, à renforcer la justice, le droit des victimes et à réaffirmer notre ferme détermination pour poursuivre le processus de justice que nous avons engagé dans notre pays, le soutien à la cour pénale spéciale, la mise en place du processus de justice transitionnelle avec la commission vérité, justice et réconciliation".
Il convient de rappeler que le chef de l'Etat a pris la parole devant l'Assemblée générale des Nations-Unies, le 22 septembre dernier à New-York, pour demander le renforcement des effectifs et des équipements de la MINUSCA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour la stabilisation en République Centrafricaine) ainsi que l'allègement de l'embargo sur les armes à destination de la RCA.
Ces mesures visent à venir à bout des violences dues aux groupes armés qui opèrent dans l'arrière-pays.