
Vue de la tribune officielle
Organisé par le Groupe d’Etudes et d’Actions pour la Centrafrique (GEAC), avec un appui du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et de la l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), cet forum a pour objectif d’approfondir le débat sur la problématique de mise en œuvre d’un plan d’émergence des régions centrafricaines capables de booster la croissance nationale.
Devant les délégués venus de toutes les préfectures de la République Centrafricaine, le Président Faustin-Archange Touadéra a fait un véritable plaidoyer en faveur de la paix, condition sine-qua none pour un développement durable dans le pays.
Il s’est étonné de ce que « la RCA dispose de plus de 15 millions d’hectares de terre arables, mais dépend cependant en majeur partie des produits manufacturés ».
De l’avis de Jean-Alexandre Scaglia, Représentant de l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), « la dégradation ou l’absence des infrastructures de soutien à l’économie que sont les routes, l’énergie, les télécommunications, etc. a eu un impact négatif sur les échanges économiques tant à l’intérieur qu’à l’extérieur que pays.
Il a déploré le fait que « les régions centrafricaines ne produisent plus, ni ne contribuent véritablement pas à la richesse nationale dont la croissance est condamnée à un chiffre ».
Le Président du Groupe d’Etudes et d’Action pour la Centrafrique (GEAC), Michel Binda, a quant à lui défendu que le relèvement et la construction des régions centrafricaines sauraient être l’œuvre du gouvernement seul. Histoire d’impliquer toutes les filles et tous les fils du pays.
Il a précisé que les travaux du forum national s’appesantiront sur des échanges qui feront le lien entre le contexte historique, la vision et les actions à mener afin de relancer l’émergence des régions centrafricaines ». Raison pour laquelle, il s’attend à des contributions pertinentes afin d’élaborer le document sur l’émergence des régions centrafricaines qui sera un outil de plaidoyer auprès des acteurs du développement socioéconomique de la République Centrafricaine.
Devant les délégués venus de toutes les préfectures de la République Centrafricaine, le Président Faustin-Archange Touadéra a fait un véritable plaidoyer en faveur de la paix, condition sine-qua none pour un développement durable dans le pays.
Il s’est étonné de ce que « la RCA dispose de plus de 15 millions d’hectares de terre arables, mais dépend cependant en majeur partie des produits manufacturés ».
De l’avis de Jean-Alexandre Scaglia, Représentant de l’Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), « la dégradation ou l’absence des infrastructures de soutien à l’économie que sont les routes, l’énergie, les télécommunications, etc. a eu un impact négatif sur les échanges économiques tant à l’intérieur qu’à l’extérieur que pays.
Il a déploré le fait que « les régions centrafricaines ne produisent plus, ni ne contribuent véritablement pas à la richesse nationale dont la croissance est condamnée à un chiffre ».
Le Président du Groupe d’Etudes et d’Action pour la Centrafrique (GEAC), Michel Binda, a quant à lui défendu que le relèvement et la construction des régions centrafricaines sauraient être l’œuvre du gouvernement seul. Histoire d’impliquer toutes les filles et tous les fils du pays.
Il a précisé que les travaux du forum national s’appesantiront sur des échanges qui feront le lien entre le contexte historique, la vision et les actions à mener afin de relancer l’émergence des régions centrafricaines ». Raison pour laquelle, il s’attend à des contributions pertinentes afin d’élaborer le document sur l’émergence des régions centrafricaines qui sera un outil de plaidoyer auprès des acteurs du développement socioéconomique de la République Centrafricaine.