L’expert Jean jacques Ninga Wong a expliqué que pour des raisons d’efficacité, il importe de tenir compte de la gendarmerie qui, dans beaucoup de localités traite plus d’affaires que la police.
« Plus que la police dont la présence se limite dans les grands centres urbains, la gendarmerie, dans le domaine de la police judiciaire, est souvent la seule autorité judiciaire voire administrative présente dans les endroits les plus isolés du pays », a-t-il ajouté.
Il a par ailleurs déploré la non signature du document de Fonds de Consolidation de la paix par les organisations Internationales, dont le PRED devait bénéficié de 2.600.000 de dollars, pour la construction et la réhabilitation des tribunaux et des prisons à Paoua, Batangafo, Bocaranga ainsi que le Centre d’accueil des mineurs en conflit avec la loi à Boali.
Il a souligné que « beaucoup de nos partenaires s’intéressent à la justice et à l’Etat de droit, pour que la Centrafrique devienne effectivement un Etat de droit où les droits de l’homme sont respectés ».
Il convient de rappeler que depuis le lancement du Projet de renforcement de l’Etat de Droit à travers la réforme des Institutions de Justice et de Sécurité, le 29 octobre 2008, des réalisations ont été faites grâce au soutien multi forme des différents partenaires notamment la France, les pays Bas.
« Plus que la police dont la présence se limite dans les grands centres urbains, la gendarmerie, dans le domaine de la police judiciaire, est souvent la seule autorité judiciaire voire administrative présente dans les endroits les plus isolés du pays », a-t-il ajouté.
Il a par ailleurs déploré la non signature du document de Fonds de Consolidation de la paix par les organisations Internationales, dont le PRED devait bénéficié de 2.600.000 de dollars, pour la construction et la réhabilitation des tribunaux et des prisons à Paoua, Batangafo, Bocaranga ainsi que le Centre d’accueil des mineurs en conflit avec la loi à Boali.
Il a souligné que « beaucoup de nos partenaires s’intéressent à la justice et à l’Etat de droit, pour que la Centrafrique devienne effectivement un Etat de droit où les droits de l’homme sont respectés ».
Il convient de rappeler que depuis le lancement du Projet de renforcement de l’Etat de Droit à travers la réforme des Institutions de Justice et de Sécurité, le 29 octobre 2008, des réalisations ont été faites grâce au soutien multi forme des différents partenaires notamment la France, les pays Bas.