L’objectif de cet atelier est de permettre à ces femmes d’apporter leurs expertises afin de galvaniser celles qui envisagent d’être candidates aux futurs échéances électorales de 2020-2021 en Centrafrique.
« Educatrice et porteuse des valeurs, la femme est le fondement d’une société juste et équitable. Il est judicieux de proposer des actions susceptibles de concourir à l’épanouissement de celle-ci », a souligné le Président de la HCC, José Richard Pouambi.
Il a fait savoir que beaucoup reste à faire à cause de la persistance des pesanteurs socioculturels dont certaines femmes centrafricaines sont encore des victimes, malgré les atouts et les potentialités que ces dernières disposent pour le relèvement économique et social de notre pays.
L’égalité de chances qui doit être accorder aux femmes pour accéder à des instances de prises de décision, a poursuivi M. Pouambi, les stéréotypes négatifs et les limites à la liberté de l’expression fondés sur le sexe ,constituent un véritable frein dont nous devons bannir de notre société.
Il a exhorté les professionnels des médias à aider le citoyen à avoir un avis informé sur la parité et à faire des choix judicieux qui peuvent contribuer à la promotion des actions qui vont concourir à l’atteinte des objectifs du développement de notre pays.
Il convient de rappeler que ce dialogue entre les femmes des institutions de la République, de départements ministériels et des organisations de la société civile va durer trois jours.
« Educatrice et porteuse des valeurs, la femme est le fondement d’une société juste et équitable. Il est judicieux de proposer des actions susceptibles de concourir à l’épanouissement de celle-ci », a souligné le Président de la HCC, José Richard Pouambi.
Il a fait savoir que beaucoup reste à faire à cause de la persistance des pesanteurs socioculturels dont certaines femmes centrafricaines sont encore des victimes, malgré les atouts et les potentialités que ces dernières disposent pour le relèvement économique et social de notre pays.
L’égalité de chances qui doit être accorder aux femmes pour accéder à des instances de prises de décision, a poursuivi M. Pouambi, les stéréotypes négatifs et les limites à la liberté de l’expression fondés sur le sexe ,constituent un véritable frein dont nous devons bannir de notre société.
Il a exhorté les professionnels des médias à aider le citoyen à avoir un avis informé sur la parité et à faire des choix judicieux qui peuvent contribuer à la promotion des actions qui vont concourir à l’atteinte des objectifs du développement de notre pays.
Il convient de rappeler que ce dialogue entre les femmes des institutions de la République, de départements ministériels et des organisations de la société civile va durer trois jours.
