Au cours de cette conférence de presse, M. Nicaise Blaise Karnou a voulu indiquer à l’opinion publique la vision de la jeunesse relative à la gestion de la transition en république Centrafricaine dont la durée est fixée à dix mois lors du sommet des Chefs d’Etat des pays de la Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale (CEEAC).
En effet, M. Nicaise Blaise Karnou s’est aperçu que trois mois sur dix huit prescrits pour la Transition se sont épuisés déjà alors que les réformes attendues dans l’esprit de la Transition ne sont pas réellement entamées.
Du côté du gouvernement, le conseiller Karnou a rappelé les missions assignées au gouvernement d’Union nationale, et qui portent sur la restauration de la paix et la sécurité, l’organisation des élections législatives anticipées après la dissolution de l’Assemblée nationale, la réorganiser des forces de défense et de sécurité, la réorganisation de l’administration territoriale, la réforme du système judiciaire, la poursuivre du processus du DDR et de la RSS, avec l’assistance de la communauté internationale, enfin, l’engagement des réformes économiques et sociales.
M. Nicaise Blaise Karnou a sérieusement insisté sur la séparation des pouvoir entre le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire.
Actuellement, le débat qui défraie la chronique est le renouvellement du bureau du Conseil national de Transition. Sur ce sujet, M. Nicaise Blaise Karnou a été catégorique : « pas question. Soulever ce débat équivaudrait à remettre en question la vote du chef de l’Etat par le même collectif électorale, qui a mis en place le bureau du Conseil national de Transition ».
Pour démontrer que l’on ne peut plus revenir sur cette question, M. Nicaise Blaise Karnou a fait mention de ses trente autres collègues qui n’ont pas émis un avis de contestation relatif au renouvellement du bureau du Conseil National de Transition. Partant, pour lui, « il ne faut pas chercher des poux sur des crânes rasés ».
Pour en finir, M. Nicaise Blaise Karnou aspire au calme, à la paix, à la justice et au développement de la République Centrafricaine.
En effet, M. Nicaise Blaise Karnou s’est aperçu que trois mois sur dix huit prescrits pour la Transition se sont épuisés déjà alors que les réformes attendues dans l’esprit de la Transition ne sont pas réellement entamées.
Du côté du gouvernement, le conseiller Karnou a rappelé les missions assignées au gouvernement d’Union nationale, et qui portent sur la restauration de la paix et la sécurité, l’organisation des élections législatives anticipées après la dissolution de l’Assemblée nationale, la réorganiser des forces de défense et de sécurité, la réorganisation de l’administration territoriale, la réforme du système judiciaire, la poursuivre du processus du DDR et de la RSS, avec l’assistance de la communauté internationale, enfin, l’engagement des réformes économiques et sociales.
M. Nicaise Blaise Karnou a sérieusement insisté sur la séparation des pouvoir entre le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire.
Actuellement, le débat qui défraie la chronique est le renouvellement du bureau du Conseil national de Transition. Sur ce sujet, M. Nicaise Blaise Karnou a été catégorique : « pas question. Soulever ce débat équivaudrait à remettre en question la vote du chef de l’Etat par le même collectif électorale, qui a mis en place le bureau du Conseil national de Transition ».
Pour démontrer que l’on ne peut plus revenir sur cette question, M. Nicaise Blaise Karnou a fait mention de ses trente autres collègues qui n’ont pas émis un avis de contestation relatif au renouvellement du bureau du Conseil National de Transition. Partant, pour lui, « il ne faut pas chercher des poux sur des crânes rasés ».
Pour en finir, M. Nicaise Blaise Karnou aspire au calme, à la paix, à la justice et au développement de la République Centrafricaine.