Cette aide a pour but de permettre aux nouvelles autorités centrafricaines de rétablir les services sociaux de base, tels que les écoles, les centres de santé, et les moyens de subsistance à travers l’agriculture et la fourniture des semences.
Mme Catherine Samba Panza a reconnu que les deux tiers de l’aide publique en direction de la République Centrafricaine proviennent de l’Union Européenne et de ses Etats membres. Le récent permettra de couvrir « les besoins humanitaires, la promesse de mise à la disposition du pays des troupes européennes et l’appui budgétaire devant conjurer une éventuelle crise sociale », selon le Chef de l’Etat de Transition.
Les discussions entre les deux délégations ont, entre autres, porté sur la sécurité, l’humanitaire, les droits de l’homme, le rétablissement des services de l’Etat, dont notamment l’institution judiciaire en vue de mettre fin à l’impunité des auteurs des violences et surtout l’organisation en 2015 des élections.
Il est à noter qu’au sein de l’Union Européenne, la France particulièrement joue un rôle d’avant-garde dans la crise que traverse actuellement la République Centrafricaine. Elle a fourni des troupes qui interviennent aux côtés des contingents africains de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique (MISCA ; son plaidoyer a permis la mobilisation de la communauté internationale autour de la crise centrafricaine ; elle a fait en sorte que l’Union Européenne ait accordé à la République Centrafricaine un appui financier le 10 janvier dernier.
La présence du Ministre allemand de la coopération à Bangui vise surtout à réchauffer les relations de coopération entre les deux pays, relations qui s’étaient évanouie il y a de cela dix ans. Par cette relance des relations de coopération, l’Allemagne entend, par la voie de Gerd Müller, « contribuer à contrecarrer la misère et la famine » dans le pays.
Il est à noter que c’est la première fois qu’un ministre français et un autre allemand effectuent une visite conjointe en Centrafrique.
Profitant de leur séjour en Centrafrique, les hôtes ont visité les responsables de l’Autorité Nationale des Elections, le Palais de Justice de Bangui ainsi que des sites de déplacés internes.
Mme Catherine Samba Panza a reconnu que les deux tiers de l’aide publique en direction de la République Centrafricaine proviennent de l’Union Européenne et de ses Etats membres. Le récent permettra de couvrir « les besoins humanitaires, la promesse de mise à la disposition du pays des troupes européennes et l’appui budgétaire devant conjurer une éventuelle crise sociale », selon le Chef de l’Etat de Transition.
Les discussions entre les deux délégations ont, entre autres, porté sur la sécurité, l’humanitaire, les droits de l’homme, le rétablissement des services de l’Etat, dont notamment l’institution judiciaire en vue de mettre fin à l’impunité des auteurs des violences et surtout l’organisation en 2015 des élections.
Il est à noter qu’au sein de l’Union Européenne, la France particulièrement joue un rôle d’avant-garde dans la crise que traverse actuellement la République Centrafricaine. Elle a fourni des troupes qui interviennent aux côtés des contingents africains de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique (MISCA ; son plaidoyer a permis la mobilisation de la communauté internationale autour de la crise centrafricaine ; elle a fait en sorte que l’Union Européenne ait accordé à la République Centrafricaine un appui financier le 10 janvier dernier.
La présence du Ministre allemand de la coopération à Bangui vise surtout à réchauffer les relations de coopération entre les deux pays, relations qui s’étaient évanouie il y a de cela dix ans. Par cette relance des relations de coopération, l’Allemagne entend, par la voie de Gerd Müller, « contribuer à contrecarrer la misère et la famine » dans le pays.
Il est à noter que c’est la première fois qu’un ministre français et un autre allemand effectuent une visite conjointe en Centrafrique.
Profitant de leur séjour en Centrafrique, les hôtes ont visité les responsables de l’Autorité Nationale des Elections, le Palais de Justice de Bangui ainsi que des sites de déplacés internes.