Instituée le 25 mai 1963, cette journée commémorative a pour objectif de faire un état des lieux de l’organisation et ses perspectives à court, moyen et long terme.
Le Représentant Spécial de l’Union Africaine (UA) en République Centrafricaine, Chef de la Mission Internationale du Soutien en Centrafrique (MISCA), le général Jean-Marie Michel Mokoko a évalué les actions positives de la MISCA, entre autres la réduction des exactions de masse grâce aux efforts de sécurisation déployés par la MISCA et la force Sangaris ainsi que la sécurisation du corridor Bangui-Beloko-Garoua-Boulai qui a permis d’importer les produits de premières nécessités et au gouvernement, des entrées financières au budget national lui permettant de faire face à ses obligations régaliennes.
Le diplomate de l’Union Africaine, Jean Marie Michel Mokoko a exhorté les forces vives de la nation à œuvrer pour la réconciliation nationale et la cohésion sociale socle du développement du pays.
Comparativement à l’effectif de 49.000 personnels civils et militaires déployés au Kosovo, pays qui ne représente que le centième de la superficie de la République Centrafricaine, le général Jean Marie Michel Mokoko a déploré le fait qu’en Centrafrique, la MISCA, la force Sangaris et l’Eufor-RCA ne disposent que d’environ 8.000 personnels. Ce chiffre a été brusquement réduit de 850 personnels, avec le départ inattendu du contingent tchadien, soit une réduction de près de 20% du total des troupes de la MISCA.
« Vous pouvez donc imaginer l’ampleur de la tâche et la dimension des problèmes que rencontrent ces forces pour couvrir l’ensemble du territoire avec l’efficacité souhaitée », a-t-il fait remarquer.
Enfin, il a loué le courage et l’abnégation des contingents des différents pays, et ceux qui réfléchissent sur la réforme du secteur de défense et de sécurité.
Le Représentant Spécial de l’Union Africaine (UA) en République Centrafricaine, Chef de la Mission Internationale du Soutien en Centrafrique (MISCA), le général Jean-Marie Michel Mokoko a évalué les actions positives de la MISCA, entre autres la réduction des exactions de masse grâce aux efforts de sécurisation déployés par la MISCA et la force Sangaris ainsi que la sécurisation du corridor Bangui-Beloko-Garoua-Boulai qui a permis d’importer les produits de premières nécessités et au gouvernement, des entrées financières au budget national lui permettant de faire face à ses obligations régaliennes.
Le diplomate de l’Union Africaine, Jean Marie Michel Mokoko a exhorté les forces vives de la nation à œuvrer pour la réconciliation nationale et la cohésion sociale socle du développement du pays.
Comparativement à l’effectif de 49.000 personnels civils et militaires déployés au Kosovo, pays qui ne représente que le centième de la superficie de la République Centrafricaine, le général Jean Marie Michel Mokoko a déploré le fait qu’en Centrafrique, la MISCA, la force Sangaris et l’Eufor-RCA ne disposent que d’environ 8.000 personnels. Ce chiffre a été brusquement réduit de 850 personnels, avec le départ inattendu du contingent tchadien, soit une réduction de près de 20% du total des troupes de la MISCA.
« Vous pouvez donc imaginer l’ampleur de la tâche et la dimension des problèmes que rencontrent ces forces pour couvrir l’ensemble du territoire avec l’efficacité souhaitée », a-t-il fait remarquer.
Enfin, il a loué le courage et l’abnégation des contingents des différents pays, et ceux qui réfléchissent sur la réforme du secteur de défense et de sécurité.