
Organisée à l’instar des autres pays du monde entier, cette Journée Internationale de la Femme a pour le thème « égalité pour les femmes est progrès pour tous », et intitulée au plan national « rôle des femmes dans le rétablissement de la paix et la sécurité » est une occasion de réflexion et de remobilisation dans la longue marche pour faire valoir le droit des femmes à l’égalité aux niveaux local, régional, national et international.
Pour Le Chef de l’Etat de Transition, Mme Catherine Samba-Panza, la promotion du genre qui est une exigence de la gestion des affaires publiques partout dans le monde n’est pas du féminisme pure mais de la recherche d’un plus grand équilibre en faveur d’une composante essentielle de la société.
Elle s’est indignée pour le fait que la nomination des femmes à des postes de responsabilité au cabinet présidentiel et ailleurs a soulevé des tôlés dans l’opinion nationale.
Malgré les incompréhensions autour de ces nominations, a poursuivi Mme Catherine Samba-Panza, « je demeure convaincue d’avoir fait le choix des femmes capables de s’investir pleinement dans le relèvement des défis actuels de notre pays ».
« Les défis de protection des femmes contre toutes formes de violences demeurent l’une des priorités de mon action », a-t-elle déclaré.
A ce titre, elle s’est engagée à utiliser tous les mécanismes juridiques existants pour rechercher et punir les auteurs de ces actes ignobles et dégradants sur les femmes et obtenir des réparations pour les victimes.
La Ministre de la Santé Publique, des Affaires Sociales, de la Promotion du Genre et des Actions Humanitaires, Dr. Marguerite Samba a déclarée qu’il ne peut y avoir une société florissante sans l’homme et la femme.
Elle a relevé que l’appropriation et l’application effective des dispositions des résolutions 1325 du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité ainsi que le plan d’action national y relatif donnera aux femmes et aux hommes de notre pays l’opportunité de participer de manière équitable au processus de prise de décision pour le rétablissement de la paix et de la reconstruction de la République Centrafricaine.
Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, Babacar Ngaye a rassuré le Chef de l’Etat de transition de l’engagement de tous ses collègues du Système des Nations Unies à accompagner le gouvernement dans ce processus de mobilisation des ressources financières pour la mise en œuvre du plan d’action national qui s’intègre pleinement dans leur mandat en Centrafrique.
Rappelons qu’à l’occasion de cette Journée Internationale de la Femme, les femmes centrafricaines ont fait un plaidoyer auprès du gouvernement et de la communauté internationale sur la mobilisation des ressources nécessaire à la mise en application des dispositions de la résolution 1325 des Nations Unies.
Pour Le Chef de l’Etat de Transition, Mme Catherine Samba-Panza, la promotion du genre qui est une exigence de la gestion des affaires publiques partout dans le monde n’est pas du féminisme pure mais de la recherche d’un plus grand équilibre en faveur d’une composante essentielle de la société.
Elle s’est indignée pour le fait que la nomination des femmes à des postes de responsabilité au cabinet présidentiel et ailleurs a soulevé des tôlés dans l’opinion nationale.
Malgré les incompréhensions autour de ces nominations, a poursuivi Mme Catherine Samba-Panza, « je demeure convaincue d’avoir fait le choix des femmes capables de s’investir pleinement dans le relèvement des défis actuels de notre pays ».
« Les défis de protection des femmes contre toutes formes de violences demeurent l’une des priorités de mon action », a-t-elle déclaré.
A ce titre, elle s’est engagée à utiliser tous les mécanismes juridiques existants pour rechercher et punir les auteurs de ces actes ignobles et dégradants sur les femmes et obtenir des réparations pour les victimes.
La Ministre de la Santé Publique, des Affaires Sociales, de la Promotion du Genre et des Actions Humanitaires, Dr. Marguerite Samba a déclarée qu’il ne peut y avoir une société florissante sans l’homme et la femme.
Elle a relevé que l’appropriation et l’application effective des dispositions des résolutions 1325 du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité ainsi que le plan d’action national y relatif donnera aux femmes et aux hommes de notre pays l’opportunité de participer de manière équitable au processus de prise de décision pour le rétablissement de la paix et de la reconstruction de la République Centrafricaine.
Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, Babacar Ngaye a rassuré le Chef de l’Etat de transition de l’engagement de tous ses collègues du Système des Nations Unies à accompagner le gouvernement dans ce processus de mobilisation des ressources financières pour la mise en œuvre du plan d’action national qui s’intègre pleinement dans leur mandat en Centrafrique.
Rappelons qu’à l’occasion de cette Journée Internationale de la Femme, les femmes centrafricaines ont fait un plaidoyer auprès du gouvernement et de la communauté internationale sur la mobilisation des ressources nécessaire à la mise en application des dispositions de la résolution 1325 des Nations Unies.