Les raisons de ce report ont été soulevées par les avocats de la défense à cause du mauvais traitement à leurs égards.
Au sortir de l’audience, le Président de l’Observatoire Centrafricain des Droits de l’Homme, Joseph Bindoumi a expliqué que les avocats de la défense étaient mécontents du traitement que la CPS et les partenaires financiers leur avaient réservé pour la défense de leurs clients.
Il a souligné que ces avocats n’avaient pas abandonné leurs clients, mais ils voulaient simplement qu’un certain nombre règles soient appliquées à leurs faveurs pour leur permettre de défendre les accusés dans les meilleures conditions.
Selon lui, la CPS devrait prendre attache avec les avocats de défense avant le démarrage de ce procès, afin d’éviter un certain nombre d’écueil et il pense que des arrangements seront fait à l’amiable entre la CPS et les avocats avant le déroulement du prochain procès.
Il convient de signaler qu’il s’agit du procès concernant les inculpés Ousmane Maneyahofa, Tahir Mahamat et Issa Salé Adoum allias Bozizé concernant des crimes contre l’humanité par meurtre et autres actes inhumain ainsi que des crimes de guerre, meurtre, torture et autres atteintes à la dignité des personnes.
Il faut rappeler qu’avant ce procès, le ministre d’Etat à la Justice, Arnauld Djoubaye-Abazene avait organisé une conférence de presse au cours de laquelle, il avait réaffirmé la ferme volonté du gouvernement à lutter contre l’impunité.
Au sortir de l’audience, le Président de l’Observatoire Centrafricain des Droits de l’Homme, Joseph Bindoumi a expliqué que les avocats de la défense étaient mécontents du traitement que la CPS et les partenaires financiers leur avaient réservé pour la défense de leurs clients.
Il a souligné que ces avocats n’avaient pas abandonné leurs clients, mais ils voulaient simplement qu’un certain nombre règles soient appliquées à leurs faveurs pour leur permettre de défendre les accusés dans les meilleures conditions.
Selon lui, la CPS devrait prendre attache avec les avocats de défense avant le démarrage de ce procès, afin d’éviter un certain nombre d’écueil et il pense que des arrangements seront fait à l’amiable entre la CPS et les avocats avant le déroulement du prochain procès.
Il convient de signaler qu’il s’agit du procès concernant les inculpés Ousmane Maneyahofa, Tahir Mahamat et Issa Salé Adoum allias Bozizé concernant des crimes contre l’humanité par meurtre et autres actes inhumain ainsi que des crimes de guerre, meurtre, torture et autres atteintes à la dignité des personnes.
Il faut rappeler qu’avant ce procès, le ministre d’Etat à la Justice, Arnauld Djoubaye-Abazene avait organisé une conférence de presse au cours de laquelle, il avait réaffirmé la ferme volonté du gouvernement à lutter contre l’impunité.