La ministre de l’Education Nationale, Gisèle Bédan exhorte la contribution de toute la population à la recherche des patients perdus de vue

Bangui, 26 sept (ACAP) – La ministre de l’Education Nationale, Gisèle Bédan a exhorté la contribution de toutes les couches de la population de Bangui et aux personnels de santé de s’investir pleinement à la recherche des patients perdus de vue, lors du lancement du projet « Recherche des patients VIH+ sous traitement perdus de vue », jeudi 25 septembre 2014 à Bangui.



L’objectif de ce projet octroyé par le gouvernement coréen est de rechercher les patients sous Anti RetroViral qui sont perdus de vue lors de crise militaro-politique.
 
Aux dires du ministre de l’Education Nationale, Gisèle Bédan, la stratégie qui va être mis en place pour ce projet destiné à la recherche de perdus de vue consistera dans un premier temps à répertorier les patients manquant à leurs traitements à partir de site de prise en charge des ARV et ensuite à aller les rechercher dans la communauté
 
La ministre Gisèle Bédan s’est dite convaincu que le réseau centrafricain des personnes vivant avec le VIH jouera un rôle crucial dans cette activité de recherche de perdu de vue en apportant son appui en tant entité des personnes vivant avec le VIH
 
Profitant de cette opportunité, la ministre de l’Education Nationale, Gisèle Bédan a lancé un appel aux partenaires d s’impliquer au côté de la République Centrafricaine à s’investir à travers les projets similaire afin de maximiser le rendement de riposte contre cette contre la pandémie.
 
En dressant le bilan de la situation de ses membres, le Président du Réseau Centrafricaine des Personnes Vivants avec le VIH (RECAPEV), Gilbert Grémalé a fait savoir que plus de 3 milles malades sous traitements ont fait des mouvements loin de leur site de prise en charge et la majorité se trouve à Bangui et ignore là où elle peut se référer pour suivre leur traitement.
 
Le Président du RECAPEV, Gilbert Grémalé a d’abord fait observer que la lutte contre le sida n’a pas été considérée comme des actions humanitaires, et les personnes vivantes avec le VIH ont constaté que la tension était plus focalisée sur la crise sécuritaire.
 
Saisissant de cette occasion, le Président du RECAPEV a sollicité l’engagement fort des partenaires au développement, des organisations des systèmes des Nations-Unies, de la société civile, mais surtout du gouvernement pour la cause du VIH/Sida dans ce pays.
 
Pour finir, il a estimé qu’avec ce projet du Fonds du gouvernement Sud Coréen, la prise en charge des personnes infectées par le VIH/SIDA sera renforcée pour alléger la souffrance des personnes sous Anti Retro-Viral d’Afrique soient utilisé dans l’esprit exprimé par les donateurs.

Vendredi 26 Septembre 2014
Sébastien Lamba/ACAP