L’objectif de cette conférence de presse est de dénoncer les actes de violence commis sur les paisibles populations, de compatir aux douleurs des familles endeuillées et de soutenir la transition jusqu’à sa fin.
Pour l’envoyé spécial du Médiateur, Basile Ikouebé, il serait inutile de recourir à la force pour renverser les institutions et espérer les remplacer, ‘’la meilleure façon de chasser ce qu’on ne va pas voir c’est d’aller aux élections’’
En arguant ses dires à propos des élections organisées en Syrie, en l’Irak et en Afghanistan, le ministre des Affaires étrangères congolais, Basile Ikouebé a déclaré que nous avons la mission des Nations-Unies, qui est une mission multidimensionnelle, capable d’entreprendre ce genre d’activités, notamment la sécurisation, la stabilisation et l’organisation des élections.
S’adressant aux fauteurs de troubles, le Ministre des Affaires étrangères congolais, Basile Ikouebé a fait savoir que jusqu’à présent le mandat du Conseil de Sécurité qui dispose des sanctions n’est pas activité parce que nous privilégions le dialogue politique.
« Mais certains acteurs connus ou pas encore ciblés continuent a perturbés l’ordre public, la paix, nous allons demander au Conseil de Sécurité d’activer les mesures qui sont proposées dans le cadre de sanctions individuelles, mais également allongé la liste des personnes à poursuivre, nous allons activer le volet judiciaire », a lancé Basile Ikouebé, l’envoyé spécial du Président Dénis Sassou Nguesso.
L’envoyé spécial du Médiateur Bansiel Ikouebé a annoncé la tenue à Bangui, la 6ème réunion internationale de groupe de contact prévue pour le 7 novembre prochain, qui examinerait les questions de sécurités, le calendrier électorale, des humanitaires et de gouvernances économiques et financières.
Il est à noter que la mission conduite par le Ministre des Affaires Etrangères de la République du Congo, Basile Ikouebé, en qualité de l’envoyé spécial du Médiateur est composée de deux Vice-Médiateurs, Représentant l’Union africaine et les Nations-Unies, l’ancien ministre de la Défense, Soumeylou Boubeye Maïga, et le représentant spécial des Nations-Unies pour l’Afrique, Abdoulaye Bathily.
Pour l’envoyé spécial du Médiateur, Basile Ikouebé, il serait inutile de recourir à la force pour renverser les institutions et espérer les remplacer, ‘’la meilleure façon de chasser ce qu’on ne va pas voir c’est d’aller aux élections’’
En arguant ses dires à propos des élections organisées en Syrie, en l’Irak et en Afghanistan, le ministre des Affaires étrangères congolais, Basile Ikouebé a déclaré que nous avons la mission des Nations-Unies, qui est une mission multidimensionnelle, capable d’entreprendre ce genre d’activités, notamment la sécurisation, la stabilisation et l’organisation des élections.
S’adressant aux fauteurs de troubles, le Ministre des Affaires étrangères congolais, Basile Ikouebé a fait savoir que jusqu’à présent le mandat du Conseil de Sécurité qui dispose des sanctions n’est pas activité parce que nous privilégions le dialogue politique.
« Mais certains acteurs connus ou pas encore ciblés continuent a perturbés l’ordre public, la paix, nous allons demander au Conseil de Sécurité d’activer les mesures qui sont proposées dans le cadre de sanctions individuelles, mais également allongé la liste des personnes à poursuivre, nous allons activer le volet judiciaire », a lancé Basile Ikouebé, l’envoyé spécial du Président Dénis Sassou Nguesso.
L’envoyé spécial du Médiateur Bansiel Ikouebé a annoncé la tenue à Bangui, la 6ème réunion internationale de groupe de contact prévue pour le 7 novembre prochain, qui examinerait les questions de sécurités, le calendrier électorale, des humanitaires et de gouvernances économiques et financières.
Il est à noter que la mission conduite par le Ministre des Affaires Etrangères de la République du Congo, Basile Ikouebé, en qualité de l’envoyé spécial du Médiateur est composée de deux Vice-Médiateurs, Représentant l’Union africaine et les Nations-Unies, l’ancien ministre de la Défense, Soumeylou Boubeye Maïga, et le représentant spécial des Nations-Unies pour l’Afrique, Abdoulaye Bathily.