Par ce communiqué de presse, le Général Tumeta Chomu voudrait bien rassurer l’opinion publique nationale et internationale de la reprise, de la constance et de la sécurisation du trafic entre la frontière camerounaise et Bangui, la capitale de la République Centrafricaine.
Depuis le déclenchement de la crise que traverse la République Centrafricaine, le trafic entre la frontière camerounaise et Bangui a été interrompu à la suite des multiples incursions des bandits de grands chemins. Et pourtant, le tronçon Bangui-Garoua Boulaï constitue la seule voie d’accès à la mer et d’approvisionnement du pays, à partir de l’ouest.
La sécurisation de l’axe Bangui-Garoua Boulaï par les escortes des éléments de la MISCA a permis aux différents convois des humanitaires, des commerçants et même des militaires de l’opération Sangaris, de circuler en toute quiétude, a signalé le communiqué de presse.
Quelque 1.085 véhicules appartenant aux militaires de l’opération Sangaris, à des opérateurs économiques privés tels que Bereir Husein, CFAO, City Max, Corail, EDA, ETS Nor Surl, FOBER, la Société Sucrière de Centrafrique (SUCAF), RECUTEX, SOMICO, ainsi que des humanitaires tels que Action Contre la Faim (ACF), AGLOW, la Croix Rouge Centrafricaine, le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le Programme Alimentaire Mondiale (PAM) et Médecins Sans Frontières (MSF) ont bénéficié, du 20 décembre 2013 au 1er mars 2014, de l’escorte des éléments de la MISCA.
Durant leurs missions de sécurisation de l’axe Bangui-Garoua Boulaï, les forces de la MISCA se sont employées « à démanteler toutes les barrières illégales, à désarmer les hors-la-loi et à escorter des convois, huit au total parmi lesquels des convois visant l’évacuation des musulmans vers la frontière camerounaise », a précisé le communiqué.
Il s’agit, selon le communiqué de presse, « de faire face à toutes les exactions contre les populations civiles, les biens sociaux et publics » par « la permanence des patrouilles et la fermeté des escortes ».
Le communiqué a mis en garde « toux ceux qui s’obstinent directement ou indirectement à entretenir le doute sur l’engagement de la MISCA à maintenir la fluidité sur la route principale Bangui-Garoua Boulaï voire la paix en République Centrafricaine ».
Depuis le déclenchement de la crise que traverse la République Centrafricaine, le trafic entre la frontière camerounaise et Bangui a été interrompu à la suite des multiples incursions des bandits de grands chemins. Et pourtant, le tronçon Bangui-Garoua Boulaï constitue la seule voie d’accès à la mer et d’approvisionnement du pays, à partir de l’ouest.
La sécurisation de l’axe Bangui-Garoua Boulaï par les escortes des éléments de la MISCA a permis aux différents convois des humanitaires, des commerçants et même des militaires de l’opération Sangaris, de circuler en toute quiétude, a signalé le communiqué de presse.
Quelque 1.085 véhicules appartenant aux militaires de l’opération Sangaris, à des opérateurs économiques privés tels que Bereir Husein, CFAO, City Max, Corail, EDA, ETS Nor Surl, FOBER, la Société Sucrière de Centrafrique (SUCAF), RECUTEX, SOMICO, ainsi que des humanitaires tels que Action Contre la Faim (ACF), AGLOW, la Croix Rouge Centrafricaine, le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), le Programme Alimentaire Mondiale (PAM) et Médecins Sans Frontières (MSF) ont bénéficié, du 20 décembre 2013 au 1er mars 2014, de l’escorte des éléments de la MISCA.
Durant leurs missions de sécurisation de l’axe Bangui-Garoua Boulaï, les forces de la MISCA se sont employées « à démanteler toutes les barrières illégales, à désarmer les hors-la-loi et à escorter des convois, huit au total parmi lesquels des convois visant l’évacuation des musulmans vers la frontière camerounaise », a précisé le communiqué.
Il s’agit, selon le communiqué de presse, « de faire face à toutes les exactions contre les populations civiles, les biens sociaux et publics » par « la permanence des patrouilles et la fermeté des escortes ».
Le communiqué a mis en garde « toux ceux qui s’obstinent directement ou indirectement à entretenir le doute sur l’engagement de la MISCA à maintenir la fluidité sur la route principale Bangui-Garoua Boulaï voire la paix en République Centrafricaine ».