La tribune officielle de l'atelier, avec au milieu le Président de la République Faustin-Archange Touadéra
L’objectif de cet atelier est de fournir aux protagonistes de la crise centrafricaine des techniques indispensables à la conduite des médiations réussies.
« Chaque acteur de la paix que sont les députés, les hommes politiques, le peuple centrafricain tout entier, chacun est appelé à prendre sa part car la paix n’est pas l’apanage du Président de la République seul et des membres du gouvernement », a affirmé le Président Touadéra, qui a estimé que l’accord de Rome initié par la communauté catholique Sant’ Egidio est un pas pour la paix, en ce sens que les principaux protagonistes ont la volonté d’aller vers la paix.
Il est également revenu sur l’importance du Comité consultatif et de suivi du DDRR qu’il a mis en place et qui est composé d’experts nationaux, des représentants des groupes armés, de ceux de la société civile et d'experts internationaux.
Cette structure, d’après le Chef de l’Etat, est une plateforme de dialogue entre les personnes qui sont concernées par le retour de la paix en République Centrafricaine.
Pour clore ses propos, il a exhorté les belligérants « à déposer les armes, à se réunir afin d’inventer ensemble une source de fierté nationale et passer de l’ère de conflit à celui du développement ».
Le représentant du Secrétaire général des Nations Unies, Parfait Onanga-Anyanga, a dit qu’il y a un temps pour chaque chose, une façon d’insister sur la paix tout de suite.
Il a cependant déploré « les affrontements violents dans plusieurs parties du pays, avec des conséquences incommensurables sur la vie et les biens des populations civiles et le bon fonctionnement des institutions de l’Etat ».
Il a aussi mentionné le comportement de « certains politiques qui y trouvent une occasion pour entretenir la division ».
Il a exhorté les Centrafricains à faire bloc autour du Président de la République afin d’éviter à la République Centrafricaine d’emprunter une trajectoire aventureuse ».
Le représentant de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), Baudoin Hamuli Kabarhuza, a annoncé que l’organisation qu’elle représente est prête à accompagner la République Centrafricaine vers sa quête de la paix, car, a-t-il dit, « la paix en République Centrafricaine est vitale pour la paix dans toute la région ».
Il faut souligner que le représentant de l’ONG sud africaine ACCORD (The African Centre for the Constructive Resolution of Disputes), Welile Nhlapo, a été l’un des artisans de la formation. Il s'est appesanti sur les multiples expériences accumulées par cette organisation partout en Afrique dans le but d'oeuvrer pour la paix.
« Chaque acteur de la paix que sont les députés, les hommes politiques, le peuple centrafricain tout entier, chacun est appelé à prendre sa part car la paix n’est pas l’apanage du Président de la République seul et des membres du gouvernement », a affirmé le Président Touadéra, qui a estimé que l’accord de Rome initié par la communauté catholique Sant’ Egidio est un pas pour la paix, en ce sens que les principaux protagonistes ont la volonté d’aller vers la paix.
Il est également revenu sur l’importance du Comité consultatif et de suivi du DDRR qu’il a mis en place et qui est composé d’experts nationaux, des représentants des groupes armés, de ceux de la société civile et d'experts internationaux.
Cette structure, d’après le Chef de l’Etat, est une plateforme de dialogue entre les personnes qui sont concernées par le retour de la paix en République Centrafricaine.
Pour clore ses propos, il a exhorté les belligérants « à déposer les armes, à se réunir afin d’inventer ensemble une source de fierté nationale et passer de l’ère de conflit à celui du développement ».
Le représentant du Secrétaire général des Nations Unies, Parfait Onanga-Anyanga, a dit qu’il y a un temps pour chaque chose, une façon d’insister sur la paix tout de suite.
Il a cependant déploré « les affrontements violents dans plusieurs parties du pays, avec des conséquences incommensurables sur la vie et les biens des populations civiles et le bon fonctionnement des institutions de l’Etat ».
Il a aussi mentionné le comportement de « certains politiques qui y trouvent une occasion pour entretenir la division ».
Il a exhorté les Centrafricains à faire bloc autour du Président de la République afin d’éviter à la République Centrafricaine d’emprunter une trajectoire aventureuse ».
Le représentant de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), Baudoin Hamuli Kabarhuza, a annoncé que l’organisation qu’elle représente est prête à accompagner la République Centrafricaine vers sa quête de la paix, car, a-t-il dit, « la paix en République Centrafricaine est vitale pour la paix dans toute la région ».
Il faut souligner que le représentant de l’ONG sud africaine ACCORD (The African Centre for the Constructive Resolution of Disputes), Welile Nhlapo, a été l’un des artisans de la formation. Il s'est appesanti sur les multiples expériences accumulées par cette organisation partout en Afrique dans le but d'oeuvrer pour la paix.