LE CAIRE, 4 juillet (Xinhua) – Les Frères musulmans d'Egypte ont annoncé jeudi leur rejet de ce qu'ils ont décrit comme « un coup d'Etat militaire » contre le président Mohamed Morsi.
« Nous refusons de travailler avec l'autorité d'usurpation actuelle, et nous dénonçons le traitement violent des manifestants pacifiques (pro-Morsi) », a indiqué le groupe dans un communiqué publié sur son site officiel.
Les Frères musul:mans ont également critiqué « les pratiques épressifs de la police », en référence à la fermeture de chaînes de télévision islamiques et les arrestations de leur équipage comme une restriction de la liberté d'expression.
La déclaration affirme que M. Morsi reste « le président de l'Egypte », citant un précédent discours de M. Morsi décrivant l'action de l'armée comme « un coup d'Etat militaire total ».
La déclaration des Frères musulmans est venue en réaction à l'éviction du président islamiste par l'armée mercredi soir après le refus du président de satisfaire les revendications des manifestants qui sont descendus dans les rues depuis dimanche dernier pour réclamrer son départ et la tenue des élections présidentielles anticipées.
« Nous refusons de travailler avec l'autorité d'usurpation actuelle, et nous dénonçons le traitement violent des manifestants pacifiques (pro-Morsi) », a indiqué le groupe dans un communiqué publié sur son site officiel.
Les Frères musul:mans ont également critiqué « les pratiques épressifs de la police », en référence à la fermeture de chaînes de télévision islamiques et les arrestations de leur équipage comme une restriction de la liberté d'expression.
La déclaration affirme que M. Morsi reste « le président de l'Egypte », citant un précédent discours de M. Morsi décrivant l'action de l'armée comme « un coup d'Etat militaire total ».
La déclaration des Frères musulmans est venue en réaction à l'éviction du président islamiste par l'armée mercredi soir après le refus du président de satisfaire les revendications des manifestants qui sont descendus dans les rues depuis dimanche dernier pour réclamrer son départ et la tenue des élections présidentielles anticipées.
