L’objectif de la remise des pick-up aux préfets centrafricains, nommés naguère par décret numéro 13.103 du 22 mai 2013, est de les pousser à regagner leurs circonscriptions administratives respectives et surtout de relancer l’appareil administratif sérieusement mis en veille à la suite de la crise politico-militaire que le pays a traversée, du 10 décembre 2012 au 24 mars 1013.
Pour le Ministre de l’Administration du territoire, M. Aristide Sokambi, l’adhésion de la population à la politique du gouvernement dépend de l’attitude et du comportement des préfets.
Partant, ils sont astreints à une obligation de neutralité, car ils ne sont ni préfets du Président de la République, encore moins ceux du Premier ministre ou du Ministre de l’Administration du territoire. Ils sont avant et après tout « les préfets de la nation centrafricaine, sans coloration politique, ethnique ni religieuse ».
M. Aristide Sokambi a souligné que c’est le manque d’observation de cette règle qui a fait perdre à certains des préfets antérieurement nommés de la notoriété.
En conséquence, il leur a recommandé d’asseoir une administration de proximité, sans complexe de supériorité ni de discrimination. C’est pourquoi, il a beaucoup insisté sur « la promotion d’une administration de développement devant se traduire par la détermination des objectifs à atteindre et la définition des stratégies pour y parvenir ».
Le Ministre de l’Administration du territoire a également émis le vœu que les préfets qui vont regagner leur circonscription respectives jouent véritablement un rôle de conseil auprès des autorités communales, afin des les aider à mieux gérer leurs entités. Il leur a conseillé de créer et d’entretenir un bon climat de collaboration avec toutes les composantes des administrations déconcentrées et locales dans le cadre de la politique de décentralisation et de régionalisation, tout en gérant objectivement les ressources financières, matérielles et humaines mis à leur disposition.
M. Aristide Sokambi a attiré l’attention des nouveaux préfets pour qu’ils se départissent de la corruption cette perversion qui risque de leur ôter toute considération devant les corrupteurs, du trafic d’influence, du racket des administrés. Le ministre de l’Administration du territoire, en projetant toutes ces attitudes, voit venir en filigrane les prochaines élections dont la bonne préparation aboutira à des résultats objectifs, démocratiques et acceptés de tous.
Après leur nomination, les préfets ont été conviés dans la salle de cinéma pour recevoir des orientations nécessaires avant qu’ils ne puissent prendre leurs fonctions dans leurs préfectures respectives.
Pour le Ministre de l’Administration du territoire, M. Aristide Sokambi, l’adhésion de la population à la politique du gouvernement dépend de l’attitude et du comportement des préfets.
Partant, ils sont astreints à une obligation de neutralité, car ils ne sont ni préfets du Président de la République, encore moins ceux du Premier ministre ou du Ministre de l’Administration du territoire. Ils sont avant et après tout « les préfets de la nation centrafricaine, sans coloration politique, ethnique ni religieuse ».
M. Aristide Sokambi a souligné que c’est le manque d’observation de cette règle qui a fait perdre à certains des préfets antérieurement nommés de la notoriété.
En conséquence, il leur a recommandé d’asseoir une administration de proximité, sans complexe de supériorité ni de discrimination. C’est pourquoi, il a beaucoup insisté sur « la promotion d’une administration de développement devant se traduire par la détermination des objectifs à atteindre et la définition des stratégies pour y parvenir ».
Le Ministre de l’Administration du territoire a également émis le vœu que les préfets qui vont regagner leur circonscription respectives jouent véritablement un rôle de conseil auprès des autorités communales, afin des les aider à mieux gérer leurs entités. Il leur a conseillé de créer et d’entretenir un bon climat de collaboration avec toutes les composantes des administrations déconcentrées et locales dans le cadre de la politique de décentralisation et de régionalisation, tout en gérant objectivement les ressources financières, matérielles et humaines mis à leur disposition.
M. Aristide Sokambi a attiré l’attention des nouveaux préfets pour qu’ils se départissent de la corruption cette perversion qui risque de leur ôter toute considération devant les corrupteurs, du trafic d’influence, du racket des administrés. Le ministre de l’Administration du territoire, en projetant toutes ces attitudes, voit venir en filigrane les prochaines élections dont la bonne préparation aboutira à des résultats objectifs, démocratiques et acceptés de tous.
Après leur nomination, les préfets ont été conviés dans la salle de cinéma pour recevoir des orientations nécessaires avant qu’ils ne puissent prendre leurs fonctions dans leurs préfectures respectives.