Il s'agit d'une aire de séchage de 10 m², dont le coût approximatif de la réalisation est de 1,6 millions de francs CFA.
Pour faire aboutir ce projet, la population a apporté les agrégats (pierres, moellons et sables), l'UNFPA a fourni le ciment, les grillages, les tiges métalliques et a pris en charge la main d'œuvre indispensable.
De l’avis de Madame Thérèse Zéba, les besoins des femmes sont multiples et se rapportent à la santé, à l’éducation, à l’alphabétisation, à l’eau potable, etc. Parmi ces besoins figurent les difficultés du séchage des produits agricoles, dont surtout le manioc, aliment de base de la population.
« La construction d'une aire de séchage à Bouchia ne suffit pas pour résoudre l'ensemble des problèmes des femmes », a reconnu la Représentante de l'UNFPA. L’essentiel pour elle est que « cette réalisation serve de catalyseur d'une union entre toutes les femmes ».
Madame Claudine Morouba, vice-présidente du comité des femmes de Bouchia, a émis le vœu qu'un magasin soit construit au bénéfice de la population pour favoriser la conservation des produits agricoles.
Ce n'est pas la première fois que l'UNFPA accompagne la population de Bouchia. En 2010, à l'occasion de la Journée Internationale de la Femme, cette institution onusienne avait offert à la population de Bouchia des outils aratoires, des cuvettes, des urnes pour la vente des beignets, des pousse-pousse et des produits médicaux.
Il est à rappeler que le Fonds des Nations-Unies pour la Population (FNUAP) qui est une agence de développement international qui œuvre en faveur du droit à la santé et de l’égalité des chances de chacun, femme, homme et enfant. L’UNFPA offre son appui aux pays pour utiliser les données démographiques dans la formulation des politiques et des programmes visant à réduire la pauvreté et pour faire en sorte que chaque grossesse soit désirée, que chaque accouchement soit sans danger, que chacun soit protégé du VIH/Sida et que toutes les filles et toutes les femmes soient traitées avec dignité et respect.
Pour faire aboutir ce projet, la population a apporté les agrégats (pierres, moellons et sables), l'UNFPA a fourni le ciment, les grillages, les tiges métalliques et a pris en charge la main d'œuvre indispensable.
De l’avis de Madame Thérèse Zéba, les besoins des femmes sont multiples et se rapportent à la santé, à l’éducation, à l’alphabétisation, à l’eau potable, etc. Parmi ces besoins figurent les difficultés du séchage des produits agricoles, dont surtout le manioc, aliment de base de la population.
« La construction d'une aire de séchage à Bouchia ne suffit pas pour résoudre l'ensemble des problèmes des femmes », a reconnu la Représentante de l'UNFPA. L’essentiel pour elle est que « cette réalisation serve de catalyseur d'une union entre toutes les femmes ».
Madame Claudine Morouba, vice-présidente du comité des femmes de Bouchia, a émis le vœu qu'un magasin soit construit au bénéfice de la population pour favoriser la conservation des produits agricoles.
Ce n'est pas la première fois que l'UNFPA accompagne la population de Bouchia. En 2010, à l'occasion de la Journée Internationale de la Femme, cette institution onusienne avait offert à la population de Bouchia des outils aratoires, des cuvettes, des urnes pour la vente des beignets, des pousse-pousse et des produits médicaux.
Il est à rappeler que le Fonds des Nations-Unies pour la Population (FNUAP) qui est une agence de développement international qui œuvre en faveur du droit à la santé et de l’égalité des chances de chacun, femme, homme et enfant. L’UNFPA offre son appui aux pays pour utiliser les données démographiques dans la formulation des politiques et des programmes visant à réduire la pauvreté et pour faire en sorte que chaque grossesse soit désirée, que chaque accouchement soit sans danger, que chacun soit protégé du VIH/Sida et que toutes les filles et toutes les femmes soient traitées avec dignité et respect.