
Le Conseiller Albert Yaloké Mokpème a expliqué que la semaine du 6 au 10 juin du Président Faustin-Archange Touadéra a démarré par une réunion de travail avec les présidents des institutions de la République en vue de les consulter sur le bon fonctionnement de la République.
Il a souligné que le Président de la République considère ces personnalités comme ses partenaires dans la gestion des affaires publiques.
Il a ensuite indiqué que l’autre audience d’importance est celle accordée aux 19 leaders des partis et associations politiques signataires d’un mémorandum remis au Chef de l’Etat.
Il a indiqué que cette rencontre fait suite aux évènements tragiques qui ont endeuillé les populations de Kaga-Bandoro, Koui, Bocaranga, Niem-Yelewa, Ngaoundaye, Bambari, Mingala, Bakouma, Nzako, Alindao, Bangassou et Bria.
Il a rappelé que le 18 mai dernier, le Chef de l’Etat a déjà convié les leaders politiques à une réunion d’échanges en vue d’obtenir leur contribution à la résolution de cette crise persistante.
Deux questions-clés ont fait l’objet de la prise de position contenue dans le mémorandum publié à Bangui le 2 juin dernier, à savoir l’initiative africaine pour le dialogue inter-centrafricain et la problématique de l’Amnistie, a-t-il précisé.
Le Porte-parole de la présidence a spécifié qu’en ce qui concerne le dialogue inter-centrafricain, les partis politiques ont réaffirmé dans ce mémorandum leur attachement aux accords de cessation des hostilités signés à Brazzaville, aux actes du Forum de Bangui, à la Cour Pénale Spéciale et au retour à l’ordre constitutionnel.
Les partis et associations politiques exigent la stricte application des résolutions du Conseil de sécurité des Nations-Unies quant aux missions de la Minusca pour le retour de la paix et ont recommandé l’organisation de ce dialogue inclusif en République Centrafricaine afin de garantir la participation de toutes les forces vives de la nation.
Au sujet de l’amnistie, les partis et associations politiques de notre pays ont réaffirmé leur attachement au respect des engagements internationaux de la République Centrafricaine et leur volonté de construire un Etat de droit et de consolider les acquis démocratiques en RCA.
Ces partis politiques et associations déclarent s’engager résolument dans la lutte contre l’impunité et pour le respect et la protection des droits des victimes, a-t-il indiqué, ajoutant que le mémorandum rappelle le rejet unanime de l’Amnistie exprimé par le peuple centrafricain lors du Forum de Bangui et s’oppose à l’idée de l’Amnistie comme solution de sortie de crise.
Toujours au Chapitre des audiences, le Président de la République a reçu le Bureau des leaders des associations féminines œuvrant pour la Paix en Centrafricaine venu lui exprimer leur volonté d’être associées au processus de recherche de la paix dans le pays.
Le Conseiller Albert Yaloké a signalé de l’interview accordée par le Président Faustin Archange Touadéra à la Chaîne de Télévision Afrique Média, et au cours de laquelle il est revenu sur les réalisations de son gouvernement durant la première année de son mandat.
Le Chef de l’Etat a montré sa détermination à rechercher la paix et la sécurité indispensables à la relance de l’économie et au développement du pays, a souligné Albert Yaloké Mokpème.
Sur le plan national, le Conseiller a rappelé qu’une délégation du Fonds Monétaire International en fin de mission en République Centrafricaine a annoncé une prévision de la croissance économique en hausse passant de 4,5% en 2016 à 4,7% en 2017.
« Ce qui aurait réjoui les plus optimistes et mécontenté les opposants les plus radicaux à tout ce que fait le gouvernement », a-t-il conclu.
Il a souligné que le Président de la République considère ces personnalités comme ses partenaires dans la gestion des affaires publiques.
Il a ensuite indiqué que l’autre audience d’importance est celle accordée aux 19 leaders des partis et associations politiques signataires d’un mémorandum remis au Chef de l’Etat.
Il a indiqué que cette rencontre fait suite aux évènements tragiques qui ont endeuillé les populations de Kaga-Bandoro, Koui, Bocaranga, Niem-Yelewa, Ngaoundaye, Bambari, Mingala, Bakouma, Nzako, Alindao, Bangassou et Bria.
Il a rappelé que le 18 mai dernier, le Chef de l’Etat a déjà convié les leaders politiques à une réunion d’échanges en vue d’obtenir leur contribution à la résolution de cette crise persistante.
Deux questions-clés ont fait l’objet de la prise de position contenue dans le mémorandum publié à Bangui le 2 juin dernier, à savoir l’initiative africaine pour le dialogue inter-centrafricain et la problématique de l’Amnistie, a-t-il précisé.
Le Porte-parole de la présidence a spécifié qu’en ce qui concerne le dialogue inter-centrafricain, les partis politiques ont réaffirmé dans ce mémorandum leur attachement aux accords de cessation des hostilités signés à Brazzaville, aux actes du Forum de Bangui, à la Cour Pénale Spéciale et au retour à l’ordre constitutionnel.
Les partis et associations politiques exigent la stricte application des résolutions du Conseil de sécurité des Nations-Unies quant aux missions de la Minusca pour le retour de la paix et ont recommandé l’organisation de ce dialogue inclusif en République Centrafricaine afin de garantir la participation de toutes les forces vives de la nation.
Au sujet de l’amnistie, les partis et associations politiques de notre pays ont réaffirmé leur attachement au respect des engagements internationaux de la République Centrafricaine et leur volonté de construire un Etat de droit et de consolider les acquis démocratiques en RCA.
Ces partis politiques et associations déclarent s’engager résolument dans la lutte contre l’impunité et pour le respect et la protection des droits des victimes, a-t-il indiqué, ajoutant que le mémorandum rappelle le rejet unanime de l’Amnistie exprimé par le peuple centrafricain lors du Forum de Bangui et s’oppose à l’idée de l’Amnistie comme solution de sortie de crise.
Toujours au Chapitre des audiences, le Président de la République a reçu le Bureau des leaders des associations féminines œuvrant pour la Paix en Centrafricaine venu lui exprimer leur volonté d’être associées au processus de recherche de la paix dans le pays.
Le Conseiller Albert Yaloké a signalé de l’interview accordée par le Président Faustin Archange Touadéra à la Chaîne de Télévision Afrique Média, et au cours de laquelle il est revenu sur les réalisations de son gouvernement durant la première année de son mandat.
Le Chef de l’Etat a montré sa détermination à rechercher la paix et la sécurité indispensables à la relance de l’économie et au développement du pays, a souligné Albert Yaloké Mokpème.
Sur le plan national, le Conseiller a rappelé qu’une délégation du Fonds Monétaire International en fin de mission en République Centrafricaine a annoncé une prévision de la croissance économique en hausse passant de 4,5% en 2016 à 4,7% en 2017.
« Ce qui aurait réjoui les plus optimistes et mécontenté les opposants les plus radicaux à tout ce que fait le gouvernement », a-t-il conclu.