
Le chef d'antenne de la MINUSCA de Berbérat, Gasparini Pericles
Le but de cette interview est d’échanger au sujet des réalisations de la MINUSCA pour le compte des populations de la Mambéré Kadéï et de la Sangha Mbaéré qui sont sous la juridiction de l’antenne de Berbérati.
A la suite des différentes actions menées, « il n’existe quasiment pas de groupes armés en tant que tels dans les préfectures de la Mambéré Kadéï et de la Sangha Mbaéré, en dehors de quelques poches d’opportunistes se réclamant des antibalaka et qui procèdent occasionnellement à des rapts », a souligné le Chef du bureau de terrain de Berbérati.
Les actions initiées ou accompagnées par le bureau de terrain de Berbérati sont : les séances de formation et les campagnes de sensibilisation axées sur le revivre-ensemble et la cohésion sociale.
Du fait de l’engouement de la population à relancer les activités économiques, Gasparini Pericles a mentionné la construction des marchés par la MINUSCA. Pour le compte du redéploiement de l’administration, la Mission des Nations Unies procède à la réhabilitation des édifices publics, à l’exemple des commissariats de police, des brigades de gendarmerie, des bâtiments administratifs, comme les bureaux du préfet, du sous-préfet, les mairies, les centres de santé, etc.
Il a cependant déploré le sous-effectif des hommes constituant la force onusienne dans les deux préfectures. Il a signalé un effectif de seulement 650 hommes appelés à patrouiller dans les communes et villes de la Mambéré Kadéï et de la Sangha Mbaéré.
Il a ajouté au sous-effectif la dégradation avancée des routes et la détérioration des ponts qui ne sont pas de nature à faciliter la mobilité en cas de besoin. Des plans de réhabilitation de ces ouvrages sont déjà ficelés et les matériels sont déjà disponibles, a-t-il indiqué.
Pour ne pas disperser les énergies, a-t-il recommandé, les représentants locaux, les autorités nationales et la communauté internationale devraient s’accorder sur un plan d’action visant à répondre aux besoins des populations.
A la suite des différentes actions menées, « il n’existe quasiment pas de groupes armés en tant que tels dans les préfectures de la Mambéré Kadéï et de la Sangha Mbaéré, en dehors de quelques poches d’opportunistes se réclamant des antibalaka et qui procèdent occasionnellement à des rapts », a souligné le Chef du bureau de terrain de Berbérati.
Les actions initiées ou accompagnées par le bureau de terrain de Berbérati sont : les séances de formation et les campagnes de sensibilisation axées sur le revivre-ensemble et la cohésion sociale.
Du fait de l’engouement de la population à relancer les activités économiques, Gasparini Pericles a mentionné la construction des marchés par la MINUSCA. Pour le compte du redéploiement de l’administration, la Mission des Nations Unies procède à la réhabilitation des édifices publics, à l’exemple des commissariats de police, des brigades de gendarmerie, des bâtiments administratifs, comme les bureaux du préfet, du sous-préfet, les mairies, les centres de santé, etc.
Il a cependant déploré le sous-effectif des hommes constituant la force onusienne dans les deux préfectures. Il a signalé un effectif de seulement 650 hommes appelés à patrouiller dans les communes et villes de la Mambéré Kadéï et de la Sangha Mbaéré.
Il a ajouté au sous-effectif la dégradation avancée des routes et la détérioration des ponts qui ne sont pas de nature à faciliter la mobilité en cas de besoin. Des plans de réhabilitation de ces ouvrages sont déjà ficelés et les matériels sont déjà disponibles, a-t-il indiqué.
Pour ne pas disperser les énergies, a-t-il recommandé, les représentants locaux, les autorités nationales et la communauté internationale devraient s’accorder sur un plan d’action visant à répondre aux besoins des populations.