Vue des conférenciers sur le 59ème anniversaire de la proclamation de la RCA
L’ancien ministre Laurent Gomina Pampali a expliqué que par le vote du référendum du 28 septembre 1959, l’Abbé Barthélemy Boganda s’est résolument engagé à transformer les anciennes colonies métropolitaines, à savoir le Congo Brazzaville, le Tchad, le Congo-Belge.
« C’est face à des oppositions de ses confrères et compagnons de lutte pour les indépendances que le projet de création des États Unis d’Afrique a échoué », a-t-il souligné.
Selon Zacharie Gounoumoundjou, l’avènement de la République Centrafricaine minutieusement préparé par le visionnaire Boganda a mis fin aux système et oppressions coloniales.
« C’est au vu des cris des Oubanguiens que le Président français, Charles De Gaule, a organisé le référendum dans les colonies métropolitaines », a indiqué le professeur Gounoumoundjou.
Le chef d’orchestre « Tropical Fiesta », Agas Zokoko a quant à lui, affirmé que l’hymne de la Renaissance n’est que le reflet du premier hymne minutieusement travaillé par le défunt Président Boganda.
Rappelons que tous les orateurs ont unanimement déploré le fait que les acquis de Barthélemy Boganda n’ont pas été matérialisés dans les Lycées et Collèges et même par les artistes centrafricains.
« C’est face à des oppositions de ses confrères et compagnons de lutte pour les indépendances que le projet de création des États Unis d’Afrique a échoué », a-t-il souligné.
Selon Zacharie Gounoumoundjou, l’avènement de la République Centrafricaine minutieusement préparé par le visionnaire Boganda a mis fin aux système et oppressions coloniales.
« C’est au vu des cris des Oubanguiens que le Président français, Charles De Gaule, a organisé le référendum dans les colonies métropolitaines », a indiqué le professeur Gounoumoundjou.
Le chef d’orchestre « Tropical Fiesta », Agas Zokoko a quant à lui, affirmé que l’hymne de la Renaissance n’est que le reflet du premier hymne minutieusement travaillé par le défunt Président Boganda.
Rappelons que tous les orateurs ont unanimement déploré le fait que les acquis de Barthélemy Boganda n’ont pas été matérialisés dans les Lycées et Collèges et même par les artistes centrafricains.