POLITIQUE
Centrafrique/Société :
Dans la conclusion générale, Maître Mathias Morouba, membre de l’Observatoire centrafricain des droits de l’homme (OCDH), a déclaré que l’objectif du séminaire est de susciter chez les participants la vocation d’activistes des droits de l’homme. Car a-t-il poursuivi, « sans la démocratie, il n y a pas de développement », précisant que pour cela, « il faut former des citoyens actifs et non passifs ».
Il a également précisé que la démocratie exige l’état de droit et le respect de la règle des droits. Selon lui, « la démocratie exclut la monopolisation des formes de pressions. L’Etat de droits implique la liberté d’expression, le droit de critiquer, et nécessite la compréhension, l’acception et la tolérance des idées des autres ».
Interrogé sur la situation du respect de la règle de droits de l’homme en Centrafrique, notamment sur les dernières affaires jugées par la cour criminelle de Bangui, l’affaire Mamadou Raikina et autres, Maître Morouba a répondu que « la lutte contre la violation des droits de l’homme est une lutte perpétuelle et que la libération de Mamadou Raikina et ses co-accusés constitue une victoire de la justice centrafricain ».
Pour le président de l’OCDH, Maître Zo Kwé Zo, ce séminaire permet de renforcer les capacités de la population en matière des droits de l’homme. Il a appelé les différentes Ong nationales et internationales à se mobiliser afin que règne une véritable promotion des droits de l’homme en Centrafrique.
La représentante de la Commission européenne, Mlle Lauréanne Comard, a pour sa part relevé que l’organisation de ce séminaire en milieu estudiantin est une volonté des partenaires de garantir l’avenir du pays, car a-t-elle conclu « les jeunes sont les dirigeants de demain ».
Le séminaire qui a pris fin mercredi, a démarré depuis le 2 août dernier. Sept thèmes ont été développés, notamment l’introduction aux droits de l’homme, la célébration de la journée internationale des droits de l’homme, la charte des droits de l’homme, les acteurs non étatiques des droits de l’homme, les mécanismes de protection des droits de l’homme, la mise en œuvre des droits de l’homme en droit positif centrafricain et les perspectives pour la protection des droits de l’homme.
A l’issue du séminaire, des certificats ont été remis aux étudiants qui ont pris part à la formation, la plupart ceux de la faculté de Droits.
Dans la conclusion générale, Maître Mathias Morouba, membre de l’Observatoire centrafricain des droits de l’homme (OCDH), a déclaré que l’objectif du séminaire est de susciter chez les participants la vocation d’activistes des droits de l’homme. Car a-t-il poursuivi, « sans la démocratie, il n y a pas de développement », précisant que pour cela, « il faut former des citoyens actifs et non passifs ».
Il a également précisé que la démocratie exige l’état de droit et le respect de la règle des droits. Selon lui, « la démocratie exclut la monopolisation des formes de pressions. L’Etat de droits implique la liberté d’expression, le droit de critiquer, et nécessite la compréhension, l’acception et la tolérance des idées des autres ».
Interrogé sur la situation du respect de la règle de droits de l’homme en Centrafrique, notamment sur les dernières affaires jugées par la cour criminelle de Bangui, l’affaire Mamadou Raikina et autres, Maître Morouba a répondu que « la lutte contre la violation des droits de l’homme est une lutte perpétuelle et que la libération de Mamadou Raikina et ses co-accusés constitue une victoire de la justice centrafricain ».
Pour le président de l’OCDH, Maître Zo Kwé Zo, ce séminaire permet de renforcer les capacités de la population en matière des droits de l’homme. Il a appelé les différentes Ong nationales et internationales à se mobiliser afin que règne une véritable promotion des droits de l’homme en Centrafrique.
La représentante de la Commission européenne, Mlle Lauréanne Comard, a pour sa part relevé que l’organisation de ce séminaire en milieu estudiantin est une volonté des partenaires de garantir l’avenir du pays, car a-t-elle conclu « les jeunes sont les dirigeants de demain ».
Le séminaire qui a pris fin mercredi, a démarré depuis le 2 août dernier. Sept thèmes ont été développés, notamment l’introduction aux droits de l’homme, la célébration de la journée internationale des droits de l’homme, la charte des droits de l’homme, les acteurs non étatiques des droits de l’homme, les mécanismes de protection des droits de l’homme, la mise en œuvre des droits de l’homme en droit positif centrafricain et les perspectives pour la protection des droits de l’homme.
A l’issue du séminaire, des certificats ont été remis aux étudiants qui ont pris part à la formation, la plupart ceux de la faculté de Droits.
