L’objectif de cette rencontre vise à implorer le secours de Dieu à travers les thèmes retenus afin de promouvoir la cohésion sociale, l’unité, la fraternité et la paix pour un développement harmonieux en République Centrafricaine.
Le président de l’Assemblée, l’honorable Laurent NGon Baba a affirmé que cette rencontre est une journée mémorable pleine d’émotion en vue de panser les plaies et désarmer les esprits surchauffés et a souhaité que le Très Haut puisse siéger puissamment dans le cœur de chacun des Centrafricains afin que la paix durable s’installe durablement en Centrafrique.
Selon madame Marguerite Ramadan, présidente de l’Organisation des femmes de Centrafrique « l’histoire de la république Centrafricaine peut être décrite comme l’histoire de frustration d’un peuple à travers les inégalités sociales, la désorganisation des forces de sécurité ayant généré un sentiment de profonde frustration qui sans aucun doute est l’une des principales causes de la crise centrafricaine ».
« Comment faire pour préserver l’unité, la cohésion sociale. Comment faire pour briser les barrières de méfiance et reconstruire la confiance entre les élites Centrafricains sur les questions essentielles de préservation de l’unité nationale, de la paix et du développement de notre pays ! » a-t-elle précisé.
Le frère Patrick Eric Meyo, Coach à l’académie John C. Maxwell du Gabon dont le message est lu par le conseiller en communication du Premier ministre centrafricain, David Gbanga a souligné quatre aspects dans la vie :
« Soyez authentiques, exprimons nos peurs, nos doutes, nos faiblesses. Sachons demander de l’aide. Dire ce que nous pensons, la compassion, la sympathie, l’empathie, cela ne signifie pas juste de donner de l’aide aux autres ou donner son point de vu, il faut s’intéresser aux autres et prendre part à leur souffrance .N’ayons pas le cœur rempli d’amertume, de rancœur au risque de sacrifier.
Le président de l’Assemblée, l’honorable Laurent NGon Baba a affirmé que cette rencontre est une journée mémorable pleine d’émotion en vue de panser les plaies et désarmer les esprits surchauffés et a souhaité que le Très Haut puisse siéger puissamment dans le cœur de chacun des Centrafricains afin que la paix durable s’installe durablement en Centrafrique.
Selon madame Marguerite Ramadan, présidente de l’Organisation des femmes de Centrafrique « l’histoire de la république Centrafricaine peut être décrite comme l’histoire de frustration d’un peuple à travers les inégalités sociales, la désorganisation des forces de sécurité ayant généré un sentiment de profonde frustration qui sans aucun doute est l’une des principales causes de la crise centrafricaine ».
« Comment faire pour préserver l’unité, la cohésion sociale. Comment faire pour briser les barrières de méfiance et reconstruire la confiance entre les élites Centrafricains sur les questions essentielles de préservation de l’unité nationale, de la paix et du développement de notre pays ! » a-t-elle précisé.
Le frère Patrick Eric Meyo, Coach à l’académie John C. Maxwell du Gabon dont le message est lu par le conseiller en communication du Premier ministre centrafricain, David Gbanga a souligné quatre aspects dans la vie :
« Soyez authentiques, exprimons nos peurs, nos doutes, nos faiblesses. Sachons demander de l’aide. Dire ce que nous pensons, la compassion, la sympathie, l’empathie, cela ne signifie pas juste de donner de l’aide aux autres ou donner son point de vu, il faut s’intéresser aux autres et prendre part à leur souffrance .N’ayons pas le cœur rempli d’amertume, de rancœur au risque de sacrifier.