Christian Mayonga redoute le caractère contraignant de la convention internationale sur l’environnement


Bangui, 7 juin (ACAP) - Le Directeur du cabinet du Ministère du Développement durable, des Eaux, Forêts, Chasses et Pêches, Christian Mayonga, a admis que la République Centrafricaine a certes signé la Convention sur la diversité biologique (CDB) mais que cet instrument international revêt un caractère contraignant, à l’ouverture de l’atelier du lancement des activités du projet intitulé « mise en œuvre de l’accès aux ressources génétique et partage des avantages (APA), mardi 7 juin 2016, à Bangui.



L’objectif de cet atelier est d’examiner puis valide la planification opérationnelle de la composante nationale du projet pour la période 2015-2016, d’informer les principaux groupes cibles intéressés par le projet et d’identifier les besoins en formation en lien avec le projet.
 
Christian Mayonga a fait savoir que les Etats membres de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) se sont engagés, dans le cadre de cette convention, à poursuivre trois objectifs qui sont : la conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable de ses éléments et le partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques.
 
Durant deux jours, les participants à cet atelier vont être édifiés entre autres sur la présentation de matrice de planification stratégique du projet APA GIZ, les lignes directrices de la mise en œuvre coordonnées du protocole de Nagoya en Afrique et la présentation des différentes initiatives et protocole avec la CDB.
 
Il faut souligner que la Convention sur la diversité biologique vise à réduire de manière progressive la détérioration de la diversité biologique.
 

 
 
 

Mercredi 8 Juin 2016
Jonas BISSANGUIM/ACAP.
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