
L’objectif de cette journée célébrée autour du thème internationale « Accès à l’information et aux droits fondamentaux : ce sont vos droits » et le thème nationale axé sur « la sécurité des journalistes » est de permettre aux professionnels des médias de présenter aux autorités nationales les aléas auxquels ils sont exposées, parfois même au risque de leur vie.
Si actuellement, les médias audiovisuels n’arrosent pas toute l’étendue du territoire national, Charles-Paul Lemasset-Mandya, au nom du gouvernement, entend en faire une priorité. Car selon lui, c’est par ces canaux que la politique du gouvernement pourrait être appropriée par le peuple, où qu’il se trouve.
Le chef du département de la Communication et de l’Information s’est sérieusement appesanti sur le droit à l’information pour chaque citoyen, qui devrait être garanti. Raison pour laquelle, il a interpellé les uns et les autres à plus de responsabilité et de discernement dans le contenu des messages et des informations qui sont proposées au grand public et surtout à la jeunesse.
Charles-Paul Lemasset-Mandya a par ailleurs exhorté les journalistes centrafricains à respecter scrupuleusement le Code d’éthique et de la déontologie pour que l’information soit une source de paix et de cohésion sociale qui sont un gage de développement et un grand rempart pour la jeune démocratie.
Au terme de la célébration de cette journée, les professionnels des médias en République Centrafricaine ont recommandé, entre autres, au gouvernement, de régler le litige sur la Maison de la Presse et des Journalistes, d’ériger le département des Sciences de l’Information et de la Communication en une Ecole Supérieure du Journalisme, de doter le personnel des médias publics d’un statut particulier et de valider une convention collective pour les journalistes des médias privés.
La problématique de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur fonction a été soulevée, de même que la modernisation des médias publics que sont Radio Centrafrique, Télé Centrafrique et l’Agence Centrafricaine de Presse pour qu’ils soient accessibles partout dans le pays.
Si actuellement, les médias audiovisuels n’arrosent pas toute l’étendue du territoire national, Charles-Paul Lemasset-Mandya, au nom du gouvernement, entend en faire une priorité. Car selon lui, c’est par ces canaux que la politique du gouvernement pourrait être appropriée par le peuple, où qu’il se trouve.
Le chef du département de la Communication et de l’Information s’est sérieusement appesanti sur le droit à l’information pour chaque citoyen, qui devrait être garanti. Raison pour laquelle, il a interpellé les uns et les autres à plus de responsabilité et de discernement dans le contenu des messages et des informations qui sont proposées au grand public et surtout à la jeunesse.
Charles-Paul Lemasset-Mandya a par ailleurs exhorté les journalistes centrafricains à respecter scrupuleusement le Code d’éthique et de la déontologie pour que l’information soit une source de paix et de cohésion sociale qui sont un gage de développement et un grand rempart pour la jeune démocratie.
Au terme de la célébration de cette journée, les professionnels des médias en République Centrafricaine ont recommandé, entre autres, au gouvernement, de régler le litige sur la Maison de la Presse et des Journalistes, d’ériger le département des Sciences de l’Information et de la Communication en une Ecole Supérieure du Journalisme, de doter le personnel des médias publics d’un statut particulier et de valider une convention collective pour les journalistes des médias privés.
La problématique de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur fonction a été soulevée, de même que la modernisation des médias publics que sont Radio Centrafrique, Télé Centrafrique et l’Agence Centrafricaine de Presse pour qu’ils soient accessibles partout dans le pays.